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Mis à jour: 1 juillet 2025
Je vous dis tout cela et ne m'accusez pas de pure curiosité. Non, je voyais des choses plus graves. Chère Georgina, on voulait peut-être faire revivre une seconde Judith. Vous ne serez jamais un Holopherne. Rassure-toi, va, je savais tout. Tu ne le reverras plus. Effectivement, je n'entendis plus parler de lui. Je ne rencontrai plus cet homme. Ma vie théâtrale me soutenait contre les ennuis.
Le marquis de Tourzel était fils de Marguerite-Henriette Desmaretz, fille du maréchal de Maillebois: en premières noces son père avait épousé Charlotte-Antoinette de Gontaut, fille du maréchal de Biron; elle mourut en 1740, laissant quatre enfants: 1º Ursule, née en 1754, qui épousa Louis-François-René, comte de Virieu; 2º Judith, qui épousa, en 1755, Anne-Joachim-Annibal, comte de Rochemore; 3º Gabrielle-Louise-Geneviève; 4º Marie-Louise.
Judith et Béranger ne tardèrent pas
Pendant ce temps, Judith continuait de faire bouillir la tête de son mari, dont la chair se détacha peu
J'ai été fort émue en chantant votre Judith, répondit Consuelo, qui savait être malicieuse dans l'occasion, et qui commençait
«L'officier me regarda avec étonnement, puis il dit: « Que me voulez-vous, monsieur? Je ne vous connais pas. « Je suis, répondis-je, le petit abbé qui lit les vies des saints et qui traduit Judith en vers. « Ah! ah! je me rappelle, dit l'officier en goguenardant; que me voulez-vous? « Je voudrais que vous eussiez le loisir de venir faire un tour de promenade avec moi.
Plusieurs femmes la regardaient d'un air étonné et chuchotaient avec leurs voisines. La grande-duchesse Judith, malgré ses quatre-vingt-dix ans, avait l'oreille fine et la vue bonne: ce petit manège ne lui échappa pas. Elle fit signe
Gautier, qui l'admirait de toute son âme, disait plaisamment: «Elle a son cerveau dans une assiette.» Judith Gautier a inventé un Orient immense pour y loger ses rêves. Et c'est bien du génie, cela!
Je m'en fus donc un matin, en traîneau, avec un sac d'argent chercher cette négresse, nommée Judith, chez son maître Wilbeck. Ce dernier était le frère de l'homme d'affaires de M. Renslaër. Je lui dis que j'avais appris par le Petroon son intention de vendre la négresse Judith. Il s'en défendit, prétextant qu'elle lui était très utile. Je lui répondis qu'il n'ignorait pas que l'on ne pouvait refuser de vendre un nègre quand il le demandait; que cette femme lui en avait témoigné le désir, mais qu'il l'avait battue au point de la tuer et qu'elle en était encore malade. Brutalement il répliqua qu'elle pourrait chercher un maître quand elle serait guérie. «Faites-la appeler, lui dis-je, elle en a trouvé un.» Elle vint. En apprenant que j'avais acheté son mari et que je voulais l'acheter également pour les réunir, la pauvre femme tomba pâmée sur une chaise. Alors Wilbeck, qui connaissait mes relations avec M. Renslaër, ne résista pas plus longtemps. Je lui comptai l'argent et prévint Judith que son mari viendrait le lendemain la chercher, ainsi que sa petite fille. Celle-ci, âgée de trois ans moins quelques mois, devait suivre sa mère, d'après la loi. C'est ainsi que notre ménage noir se trouva formé. Nous eûmes véritablement beaucoup de bonheur. La femme comme l'homme étaient d'excellents sujets, actifs, laborieux, intelligents. Ils s'attachèrent
Les maîtres du pays étaient donc les évêques. Le vrai roi, le vrai pape de la France, était le fameux Hincmar, archevêque de Reims. Il était né dans le nord de la Gaule, mais Aquitain d'origine, parent de saint Guillaume de Toulouse, et de ce Bernard, favori de Judith, dont on croyait que Charles était le fils. Personne ne contribua davantage
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