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Mis à jour: 24 mai 2025


Les traits caractéristiques du génie de Ramsay sont le naturel, la grâce, et l'aisance. Il a donné de jolis tableaux, d'une observation facile et un peu superficielle, d'un coloris léger et clair. L'ensemble de son oeuvre a quelque chose d'aimable, de riant. Ni la passion douloureuse, ni le drame intime n'y apparaissent; on n'y voit jamais les lueurs sombres ni les éclairs tragiques de Burns, ni la teinte mélancolique de Fergusson. Tout y respire l'optimisme d'un homme qui est satisfait de la vie, parce qu'elle lui a donné ce qu'il souhaitait, et aussi parce qu'il n'a point souhaité plus qu'elle ne peut donner. On y rencontre partout le contentement. Aussi Ramsay jette-t-il sur les hommes un regard qui n'eut jamais ni profondeur ni amertume, et quand Hogarth lui dédia ses illustrations de l'Hudibras, il les offrait

Deux sentinelles dialoguent; l'une, soldat de métier, ne voit et ne veut pas voir plus loin que sa consigne; l'autre, qui semble un de nos frères d'aujourd'hui, s'efforce de comprendre, et son cœur est accablé: «Pourquoi Dieu jette-t-il les peuples les uns contre les autres? N'y a-t-il pas assez d'espace sous le ciel? Qu'est-ce que les peuples?... Qu'est-ce qui met la mort entre les peuples?

A ta suite j'ai perdu la foi en les mots, les valeurs consacrées et les grands noms! Quand le diable change de peau, ne jette-t-il pas en même temps son nom? Car ce nom aussi n'est qu'une peau. Le diable lui-même n'est peut-être qu'une peau. "Rien n'est vrai, tout est permis" : ainsi disais-je pour me stimuler. Je me suis jeté, coeur et tête, dans les eaux les plus glacées.

Pourquoi Dieu jette-t-il au coeur de chacun de ses enfants la semence du mal? Le mal, comme les mauvaises herbes, envahit le bon grain et l'étouffe le plus souvent. Le sage et le juste sont toujours vaincus sur la terre. C'est une vallée de larmes, parce que les hommes sont méchants. Pourquoi ce jeu cruel du Créateur?

CLIFFORD. Mon gracieux souverain, il faut mettre de côté cette excessive douceur, cette dangereuse pitié. A qui le lion jette-t-il de doux regards? ce n'est pas

Sérieusement, croit-on qu'une oeuvre d'une complication si laborieuse, avec des histoires folles qui ont traîné partout, avec ces trois bâtards qui passent comme des muscades sous les gobelets du dramaturge, ait quelque chance de laisser une petite trace? On la jouera quarante, cinquante fois; puis, elle tombera dans un oubli profond, et si par hasard quelqu'un la déterre un jour, il sourira du lord et de l'aventurière en disant: «C'est dommage, les ouvriers étaient intéressants.» A la place de M. Louis Davyl, j'aurais une ambition littéraire plus large, je voudrais tenter de vivre. Il est homme de travail et de conscience. Pourquoi ne jette-t-il pas l

Le Gymnase vient aussi de subir une révolution, mais d'un genre moins tragique; il ne s'écroule pas, il ne fait que changer d'autocrate. Après vingt ans de règne mêlé de prose et de couplets, M. Delestre-Poirson abdique; il résigne le pouvoir, emportant avec lui toutes les consolations nécessaires pour ne pas le regretter, et entre autres baumes salutaires et efficaces, une magnifique fortune, dit-on. M. Delestre-Poirson n'a pas gouverné sans bonheur et sans éclat; le soleil levant de M. Scribe a illuminé les premières années de son autorité. Pendant longtemps le Gymnase cueillit la plus riante et la plus jeune moisson de ce charmant esprit, se tressant des couronnes de vaudevilles parfumés et de fines comédies. Quel âge d'or pour le Gymnase! Que de caprices délicieux! que de délicates fantaisies! que de petits chefs-d'oeuvre! Il y a plus de quinze ans de cela, eh bien! en passant sur le boulevard Bonne-Nouvelle, il semble qu'on respire encore le parfum du frais bouquet de M. Scribe! Depuis ce temps, le fécond auteur est devenu académicien, et M. Poirson se retire dans la solitude de ses cent mille livres de rente. Ainsi chacun finit par s'asseoir dans son fauteuil. Mais qui sait! Peut-être, du haut de l'Académie, M. Scribe jette-t-il de temps en temps un sourire de regret

Musset également, en parlant de Venise, désespéré d'elle et de lui-même, ne lui jette-t-il pas cet aveu «qu'il a mérité de la perdre »... Lettres d'amants encore enchaînés l'un

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