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Mis à jour: 25 octobre 2025


Le spectacle de la mort de Virginie, immolée par son père

«Docile aux paroles de Garouda, le vigoureux autant qu'illustre Ançoumat s'empara du cheval et revint d'un pied hâté au lieu cette victime devait être immolée.

Enfin la toile se lève de nouveau et le dernier acte commence. Cette fois le théâtre représente une tente grecque. Sur un lit est étendu un vaillant guerrier. Au-dessus de sa tête sont accrochés son casque et son bouclier: ils peuvent se reposer maintenant: Ilion est détruit, Iphigénie immolée, Cassandre prisonnière dans le palais. Le pasteur des peuples, représenté par le colonel Crawley, qui n'a jamais su de sa vie ce que c'était que la prise d'Ilion et la captivité de Cassandre, ronfle sur son lit

Naam répondait qu'elle se serait immolée elle-même plutôt que de consentir

Sacrifiée aux calculs du père Oliveira!... Comment! sacrifiée?... Immolée

Telle fut la révolution du 18 brumaire, jugée si diversement par les hommes, regardée par les uns comme l'attentat qui anéantit l'essai de notre liberté, par les autres comme un acte hardi, mais nécessaire, qui termina l'anarchie. Ce qu'on en peut dire, c'est que la révolution, après avoir pris tous les caractères, monarchique, républicain, démocratique, prenait enfin le caractère militaire, parce qu'au milieu de cette lutte perpétuelle avec l'Europe, il fallait qu'elle se constituât d'une manière solide et forte. Les républicains gémissent de tant d'efforts infructueux, de tant de sang inutilement versé pour fonder la liberté en France, et ils déplorent de la voir immolée par l'un des héros qu'elle avait enfantés. En cela le plus noble sentiment les trompe. La révolution, qui devait nous donner la liberté, et qui a tout préparé pour que nous l'ayons un jour, n'était pas, et ne devait pas être elle-même la liberté. Elle devait être une grande lutte contre l'ancien ordre de choses. Après l'avoir vaincu en France, il fallait qu'elle le vainquît en Europe. Mais une lutte si violente n'admettait pas les formes et l'esprit de la liberté. On eut un moment de liberté sous la constituante, et il fut court; mais quand le parti populaire devint menaçant au point d'intimider tous les esprits; quand il envahit les Tuileries au 10 août; quand au 2 septembre il immola tous ceux qui lui donnaient des défiances; quand au 21 janvier il obligea tout le monde

Sur cette ligne, de distance en distance, l'homme plaçait quelques grosses pierres ou quelques troncs d'arbres, que l'on appelait des termes. On peut juger ce que c'était que ces bornes et quelles idées s'y attachaient par la manière dont la piété des hommes les posait en terre. « Voici, dit Siculus Flaccus, ce que nos ancêtres pratiquaient: ils commençaient par creuser une petite fosse, et dressant le Terme sur le bord, ils le couronnaient de guirlandes d'herbes et de fleurs. Puis ils offraient un sacrifice; la victime immolée, ils en faisaient couler le sang dans la fosse; ils y jetaient des charbons allumés (allumés probablement au feu sacré du foyer), des grains, des gâteaux, des fruits, un peu de vin et de miel. Quand tout cela s'était consumé dans la fosse, sur les cendres encore chaudes, on enfonçait la pierre ou le morceau de bois. » On voit clairement que cette cérémonie avait pour objet de faire du Terme une sorte de représentant sacré du culte domestique. Pour lui continuer ce caractère, chaque année on renouvelait sur lui l'acte sacré, en versant des libations et en récitant des prières. Le Terme posé en terre, c'était donc, en quelque sorte, la religion domestique implantée dans le sol, pour marquer que ce sol était

Elle filait une blanche colombe pour un coussin: il filait le parfait amour. Le quatrième jour, la colombe fut immolée. Le grand art de Parisis était d'arriver

Mais Picounoc en recherchant l'amour de Noémie, en priant cette femme de venir remplacer, auprès de lui, l'épouse immolée si cruellement, renonçait au droit de venger la mort par la mort. PREMIERS PAS VERS LA LIBERT

Cette cérémonie religieuse donnait seule aux conventions internationales un caractère sacré et inviolable. Tout le monde connaît l'histoire des fourches caudines. Une armée entière, par l'organe de ses consuls, de ses questeurs, de ses tribuns et de ses centurions, avait fait une convention avec les Samnites. Mais il n'y avait pas eu de victime immolée. Aussi le Sénat se crut-il en droit de dire que la convention n'avait aucune valeur. En l'annulant, il ne vint

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