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Mis à jour: 30 avril 2025
Mais, pour la bien sentir, il faudrait citer la pièce tout entière. Comme art, le poème de M. Le Goffic est rare, pur, achevé. «Ces vers, a dit M. Paul Bourget, donnent une impression unique de grâce triste et souffrante. Cela est
À ce recueil posthume ont aussi donné leurs soins MM. Le Goffic, de la Villehervé, Pouvillon, Paul Margueritte et M. Charles Maurras, qui écrivait au lendemain de la mort de Jules Tellier: «Un des premiers et des plus raffinés écrivains d'aujourd'hui a été retiré d'au milieu de nous.» Les Reliques de Jules Tellier sont de sorte
In an article which appeared in "Les Annales," July 6, 1913, Charles Le Goffic tells of a visit to the house in Tarascon known as la maison de Tartarin, and reports a conversation he had with Mistral, the great Provençal poet, an intimate friend of Daudet.
C'était, en effet, la coutume des vieux saints irlandais d'aborder la côte armoricaine dans une auge, et Charles Le Goffic devait connaître par le menu l'histoire de saint Efflam et de son épouse
Un poète de son âge qui a écrit un bien joli livre de critique, M. Le Goffic, constate cette influence profonde de M. Maurice Barrès et il l'explique en bons termes. «C'est qu'en effet, dit-il, ces livres maladifs d'art et de passion mettent dans le jour le plus vif les habitudes morales d'une jeunesse d'extrême civilisation, clairsemée dans la foule assurément, mais qui, si l'on en réunissait les membres épars, apparaîtrait plus compacte qu'on ne croit.»
M. Charles Le Goffic n'a pas encore vingt-huit ans révolus, et pourtant il touche par son origine au temps jadis; il naquit contemporain des vieux âges, car il vit le jour et fut nourri dans la petite ville de Lannion, qui était encore, il y a un quart de siècle, une ville du moyen âge. Il coula de longues heures
La vanité de Chateaubriand a souvent pour complice son imagination de Celte... Je n'irai pas si loin que le Celte Charles Le Goffic, qui (dans la deuxième série de l'
Sur un curieux livret de M. Charles Le Goffic intitulé le Pays, et qui est une sorte de poème de la nostalgie, M. Guy Ropartz a écrit une partition émouvante; l'Opéra-Comique vient de représenter avec le plus vif succès le «drame en musique» de ces deux artistes. C'est l'histoire d'un marin breton hanté du mal du pays sur la terre d'Islande où il a fondé son foyer. Le spectacle se complète par un «conte mélodique», gracieux et joli, que M. Lattes a tiré de Il était une bergère, de M. André Rivoire. La musique s'est heureusement inspirée du poème si souvent applaudi
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