Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 9 juin 2025


Un autre peintre beaucoup plus connu que Gian Paolo, Andréa Schiavoni, élève du Titien, profita également des conseils et des encouragements de l'Arétin. Il lui écrivait, en avril 1548 , une lettre remplie d'une critique bienveillante, et qui contient une appréciation vraie des qualités et des défauts de cet artiste. «C'est une cruauté, lui dit-il, semblable

Les chefs-d'oeuvre dont le Titien embellissait Venise ne purent empêcher ses ennemis de l'accuser d'avoir apporté peu de soin aux peintures dont il avait été chargé pour le palais ducal. Une lettre de l'Arétin, de février 1545, en nous révélant cette circonstance, nous apprend aussi que la sérénissime république lui avait rendu complètement justice, en repoussant cette calomnie. On sait qu'après la mort de Gian. Bellini, le Titien, ayant achevé dans la salle du grand conseil le tableau dans lequel Frédéric Barberousse, agenouillé devant la porte de Saint-Marc, fait amende honorable au pape Alexandre III qui lui met le pied sur la gorge, le sénat le récompensa en lui accordant, dans l'entrepôt des Allemands, l'office de la senseria, dont le revenu annuel était de trois cents ducats. L'obligation imposée

Lorsque Louis Gian arriva après minuit, ils se précipitèrent sur lui, le bâillonnèrent et, l'ayant hissé sur la grille de la ville, l'empalèrent et se sauvèrent en se donnant des tapes... L'empalé mourut, avec volupté peut-être. Il était beau comme Attys. Les lucioles luisaient autour de lui...

Louis Gian avait écouté, debout et les yeux baissés, l'admonestation du vicaire. Mais, dès que celui-ci eut le dos tourné, l'impie singea sa marche chancelante et chantonna: Cinq et trois font huit. Cinq et trois font huit.

Quatre jeunes gens, qui ne valaient en somme pas mieux que Louis Gian, l'attendirent un soir qu'il était allé seul au théâtre. Ils se saoulèrent de ce vin de Corse bien tombé de la réputation qu'il eut au XVIe siècle, puis guettèrent en face de la villa l'encroupé vivait avec un Autrichien morbide.

Parmi les peintres, nous citerons Gian Maria de Milan que l'Arétin traite de compère, et avec lequel il paraît avoir entretenu les relations les plus intimes; Lorenzo Lotto, de Bergame, dont le Titien ne dédaignait pas les conseils ; Francesco Terzo, également de Bergame, qui lui avait envoyé un portrait de femme, pour s'attirer sa protection . L'Arétin le remercia par une lettre d'août 1551 en lui donnant beaucoup d'éloges, et en l'assurant que le Titien avait extrêmement goûté cette oeuvre. Il s'excuse ensuite de ne pouvoir lui en donner un prix égal

À la fin, l'inconduite de Louis Gian fut en horreur au Ciel, comme elle l'était

Orso, dit Colomba, vous ne partirez point seul. Je n'ai besoin de personne, dit Orso, et je te réponds que je ne me laisserai pas couper l'oreille. Oh! jamais je ne vous laisserai partir seul en temps de guerre. Ho! Polo Griffo! Gian' Francè! Memmo! prenez vos fusils; vous allez accompagner mon frère

La patronne était rousse comme une orange, mais le patron sentait le pissala. Louis Gian se fit enlever en temps de carnaval par un Russe quinquagénaire et méticuleux qu'il fallait appeler: «Mon généralet qui l'appelait: «GanymèdeAyant reconnu que le Russe était exigeant et avare, il le vola et le quitta. Ensuite il se prodigua

Gian Filoteo Achillini mérite d'être tiré de la foule, non pas qu'il ait eu moins de défauts que les autres, mais parce qu'il les eut au contraire d'une manière plus décidée, plus prononcée, et qui lui est plus propre; en sorte que l'on peut croire qu'il les eut moins par imitation que par la pente naturelle de son génie.

Mot du Jour

bornait

D'autres à la Recherche