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Mis à jour: 7 juin 2025
LE COMTE ALMAVIVA, Grand d'Espagne, Amant inconnu de Rosine, paroît au premier Acte en veste et culotte de satin; il est enveloppé d'un grand manteau brun, ou cape espagnole; chapeau noir rabattu avec un ruban de couleur au tour de la forme. Au 2e Acte: habit uniforme de cavalier avec des moustaches et des bottines. Au 3e habillé en Bachelier; cheveux ronds; grande fraise au cou; veste, culotte, bas et manteau d'Abbé. Au 4e Acte, il est vêtu superbement
Il n'en put écrire davantage, parce qu'il fut abordé par une petite vieille, qui avait une fraise au cou, un vertugadin, un moule sous ses cheveux blancs, un chaperon de velours; et son antiquité avait quelque chose de vénérable. «Mon fils, lui dit-elle, vous poussez des regrets bien amers; je vous prie de m'en apprendre le sujet.
À propos de Polichinelle, ne lui dois-je pas aussi un petit article? Ce farceur napolitain n'a guère que le nom de commun avec le héros de nos marionnettes: c'est un garçon tout aussi droit qu'un autre, et qui, non moins fécond en saillies que quelque bouffon que ce soit, les débite sans plus bredouiller que le plus disert des arlequins. Il est vêtu d'une large camisole blanche, sans fraise et sans manchettes, laquelle tombe jusqu'au milieu de ses cuisses sur un pantalon blanc aussi, et qui est ceinte d'une corde
Il portait l'élégant habillement des jeunes gens riches de cette époque; chapeau de feutre, ombragé d'une plume d'autruche; large fraise tuyautée en dentelle; justaucorps de drap bleu, galonné d'argent, haut-de-chausses bouffants, jaunes,
«Dans l'habitacle où, sur la braise, «Nos vains plaisirs sont expiés, «Du fond des bois c'est une fraise «Qui, cette nuit, tombe
A l'aspect de ce visiteur imprévu, ses joues pâlirent un peu, sa physionomie devint sérieuse; elle étendit involontairement ses mains comme pour repousser une vision importune. Allen s'approcha, saisit avec un tendre respect ses doigts mignons, encore teints des rougeurs de la fraise ou de la cerise.
«Oh! les admirables dents de crocodile, murmura son amant. Tu veux dire que je me nourris de tes larmes. Je te jure que j'aime mieux tes fraises. La comtesse prit une seconde fraise, puis une autre encore. Tu vois qu'il y a de bonnes choses sur la terre. O sublime gourmande!» Et Georges présenta lui-même une fraise aux lèvres de Valentine. «Ta bouche n'est pas assez grande.»
Il lui dit qu'il n'était pas un héros de roman, mais que jamais ces amoureux transis qui s'appellent Saint-Preux et Werther, ces amoureux affolés qui s'appellent des Grieux et Ravensvood n'aimaient pas comme lui d'un amour profond, mystérieux, invincible et fatal. «Des rêveries,» dit Valentine voulant cacher son coeur. Elle prit une fraise, et la mangea.
Il nous apprend qu'on trouve chez la mère Gagnon un petit vin du cru qui sent la fraise et le muscat. Il célèbre, comme Monselet, mais avec plus de grâce, la poularde et le chapon. S'il plaint le gros cochon qu'on a tué sans pitié et qui ne montrera plus
Sur le cresson, de la fontaine Où le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots d'argent du muguet. Sous l'herbe, pour que tu la cueilles, Il met la fraise au teint vermeil, Et te tresse un chapeau de feuilles Pour te garantir du soleil. Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d'avril tournant la tête, Il dit: «Printemps, tu peux venir!»
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