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Il y faisait extrêmement froid, et il ne s'y trouvait ni cousin ni guêpe. Nous fûmes transis pendant les deux heures que nous nous y arrêtâmes pour faire souffler nos bêtes. De cette hauteur, les autres montagnes, qui nous avaient paru si élevées, ressemblaient

Donnez-leur le silence et l'amour du mystère, O Dieu glorifieur du bien fait en secret, A ces timides moins transis qu'il ne paraît, Et l'horreur, et le pli des choses de la terre. Donnez-leur, ô mon Dieu, la résignation, Toute forte douceur, l'ordre et l'intelligence, Afin qu'au jour suprême ils gagnent l'indulgence De l'Agneau formidable en la neuve Sion,

«La nôtre se rapproche beaucoup de celle des Arabes, avec cette différence que nous ne sommes pas suivis et soutenus comme ces derniers, par les gens de notre maison. À quatre heures du matin, l'un de nos coqs bat des ailes et salue le point du jour; tous les autres lui répondent. J'appelle mes Goanais pour qu'ils me fassent du feu; ils sont transis (le thermomètre indique

Nous nous postons aux aguets: après plusieurs heures, les inspecteurs transis, et ne pouvant plus résister, me proposent de quitter la station; j'étais moi-même

A l'aveuglette, le grand cuirassé avance toujours dans les ténèbres, dans le vent d'hiver qui siffle et dans les tourbillons de neige; transis de froid et de mouillure, nous devons être

Toute cette journée avait été très-fraîche. Les Persans, avec leur amour immodéré pour le froid, étaient enchantés et nous vantaient Kohroud. Sans nous insurger contre cette opinion, nous en tirions des pronostics douteux pour le repos de la nuit, et nous eûmes malheureusement assez raison, car toutes les précautions possibles furent impuissantes contre la rigueur de la température. Aussi le signal du départ ne nous trouva pas récalcitrants, et, tout transis, nous montâmes

Quand l'automne attristé, qui suspend dans les airs Des cris d'oiseaux transis et des parfums amers, Et penche un blanc visage aux branches décharnées, Reviendra, mon amour, dans la prochaine année, Quels seront tes souhaits, quels seront mes espoirs? Rêverons-nous encor tous deux comme ce soir, Dans la calme maison qu'assaille la rafale, l'humble cheminée, en rougeoyant, exhale Une humide senteur de fumée et de bois? Entendrons-nous, mes mains se reposant sur toi, Ces grands chants de Schumann, exaltés, héroïques, le désir est fier comme un sublime exploit, passe tout

Il était deux heures du matin quand notre voiture s'arrêta devant la meilleure auberge de Suze il pourrait bien n'y en avoir qu'une. Transis de froid, mourans de faim, nous étions impatiens de nous réchauffer et de souper. Le postillon frappe; personne ne répond; il frappe, frappe et frappe encore; pas un mot. Dans l'intérieur, ni bruit, ni mouvement, ni lumière. Le postillon, qui, exposé

Les barbons moroses s'encapuchonnent En leurs manteaux fourrés d'hermine Et les amoureux transis de Bourgogne Sous la bise font triste mine. Le froid pince aux cordes des guitares Les doigts des musiciens sous le balcon, Des musiciens venus trop tard, Et cramoisit leurs nez rubiconds.

De tous les amoureux martirs Transis banis et doloreux N'en veis nulz tant estre amortis Comme se povre malheureux Telz gens sont mal amoureux N'en leur cueur espoir n'abonde Combien qu'on tient cil tant heureux qu'il ne vouldroit pas vivre au monde