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Cette malheureuse princesse conservait encore alors quelques petites jalousies de femme. Elle avait un très beau teint et beaucoup d'éclat, et se montrait un peu jalouse de celles des jeunes femmes qui apportaient au grand jour de midi un teint de dix-sept ans, plus éclatant que le sien. Le mien était du nombre. Un jour, en passant dans la porte, la duchesse de Duras, qui me protégeait beaucoup, me dit

Mille fois plus grand que vous ne pouvez vous en douter. Imaginez-vous qui je quitte? Madame de Villars? interrompit madame du Maine. Oh! non. Mieux que cela. Madame de Duras? Vous n'y êtes point. Madame de Nesle? Bah! Madame de Polignac? Ah! pardon, cardinal. Allez toujours. Cela ne regarde pas Son

Je rencontrais partout le duc de Raguse, et surtout chez madame de Duras il venait familièrement. J'éprouvais contre lui quelques-unes des préventions généralement établies et, sans avoir jamais aimé Napoléon, je lui savais mauvais gré de l'avoir trahi. Les étrangers bien informés de cette transaction furent les premiers

Angélique de Bournonville, fille du prince de Bournonville, comte d'Hénin, épousa en 1706 Jean-Baptiste de Durfort, duc de Duras, maréchal de France. Elle fut dame d'honneur de Mesdames, filles de Louis XV, et mourut en 1764. Marie Brûlart de la Borde, fille d'un premier président au parlement de Dijon, épousa en deuxièmes noces, en 1732, Philippe d'Albert, duc de Luynes.

Madame de Rauzan se tourmentait pour son père, le duc de Duras. Il était de service

De quel endroit, dans ce pays? De Duras. Elle réfléchit un instant. Duras! Il y coule une petite rivière, le Dropt. Il y a un grand vieux château. Vous connaissez Duras, murmurai-je, abasourdi. On y va de Bordeaux, par un petit chemin de fer, poursuivit-elle. C'est une route encaissée, avec des coteaux pleins de vignobles, que couronnent des ruines féodales.

C'est lorsque madame de X... rentra dans sa retraite que se forma décidément le corps des madames. Les principales étaient les duchesses de Duras, de Lévis, et madame de Bérenger; le reste ne vaut pas l'honneur d'être nommé. Ces trois dames avaient chacune leur heure; monsieur de Chateaubriand était reçu

Je retrouvai, en sortant, Adrien de Mun et Juste de Noailles, qui me demandèrent si j'avais arrangé mes affaires. Je leur répondis seulement que l'Empereur avait été très aimable pour moi. Sans perdre de temps, je remontai en voiture, et prenant Mme de Duras qui, ne pouvant maîtriser son impatience, était venue m'attendre dans l'allée de Trianon, nous retournâmes

Il y avait le salon littéraire, parlementaire et bourbonien de madame la duchesse de Duras; quoi qu'en dise M. Villemain dans ses éloquents Souvenirs, je n'y fus jamais reçu; j'étais trop jeune et trop inconnu pour y avoir place; je doute que madame de Duras ait entendu prononcer mon nom; d'ailleurs c'était l