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[Note 2: Puis gouverneur du Bengale, puis pair d'Angleterre pour le royaume d'Irlande. Mais les marchands, quoi qu'en pût dire Dupleix, sont les mêmes partout. Ceux d'Angleterre se conduisirent plus tard vis-

L'étang de Moutrapaléon, dont les sources alimentent d'une eau excellente la ville de Pondichéry, a été établi par une courtisane célèbre; ce fait est rappelé sur les bas-reliefs de la fontaine publique qui est surmontée de la statue de Dupleix, au milieu de la place Dupleix, la grande place de Pondichéry. L'avidité.

Ici Dupleix débrouillait avec une lumineuse sûreté de mémoire l'écheveau des batailles, des révolutions, des égorgements, enroulé, noué, tordu et retordu autour des successions contestées du soud'habar du Dekkan et du fameux nabab du Carnatic. En quelques pages, il éclairait les fantastiques ténèbres de cette épopée des héros aux noms sauvages, plus nombreux que ceux de l'Iliade et plus terribles, s'entrehachaient autour de l'éléphant blanc, monture du vieux Myrza-Jung, qui,

Si tu fais cela, chevalier... commença Dupleix. Mais le chevalier ne put entendre la fin de la phrase, car il s'était élancé dans l'escalier, après avoir effleuré du bout des lèvres la belle main de Mlle de Vandes, qui lui cria: Merci; bon courage et bonne chance!

Toujours est-il que Dupleix se trouva debout, entre les bras du chevalier, puis assis dans son fauteuil, bien avant que la pauvre Jeanneton eût repris ses sens, et qu'il chercha, et qu'il trouva lui-même parmi les menus objets qui encombraient son tiroir, un flacon de sels volatils pour le faire respirer

Les gens comme M. le duc, si accablés de besogne qu'ils soient, ont toujours le temps de n'aimer point les pauvres grands vaincus comme Joseph Dupleix et de le leur témoigner. Ce n'est pas méchanceté de leur part, c'est malaise de conscience.

Tron Tarascon! connaissez-vous les héritiers du Languedoc? Chacun d'eux vaut trois héritiers de Normandie. Le bon M. d'Assas, retourné de bout en bout, brûla ce qu'il avait adoré et adora ce qu'il avait brûlé. Dupleix prit des rayons dans ses rêves, et quand le chevalier lui écrivit une lettre respectueuse, mais ferme, pour réclamer son consentement au mariage, le brave gentilhomme répondit quatre pages sur grand papier, qui contenaient, entre autres choses raisonnables les sentences suivantes: «Tout ce qui reluit n'est pas or. Monseigneur mon cousin de Choiseul a eu la bonté de me faire beaucoup de promesses qu'il n'a point tenues, et après tout j'hésite

Auraient-ils honte? s'écria le bonhomme en se redressant. Honte! répéta le chevalier Nicolas; non certes; mais ils ont peur, sachant que Dupleix est trop grand pour certaines petites gens, et que M. mon cousin de Choiseul, notamment, ne le tient pas en fort amicale odeur,

Parmi ces ouvrages, il en est quatre généralement connus sous le nom des quatre grandes histoires de France; celle de Dupleix, qu'on ne lit plus; celle de Mézeray, qu'on lira toujours, non parce qu'il est aussi exact et aussi vrai que Boileau l'a dit pour la rime, mais parce qu'il est original et satirique, ce qui vaut encore mieux pour des lecteurs français; celle du P. Daniel, jésuite, fameux par ses descriptions de batailles, qui a fait en vingt ans une histoire il n'y a d'autre mérite que l'érudition, et dans laquelle le comte de Boulainvillers ne trouvait guère que dix mille erreurs; et enfin, celle de Vély, continuée par Villaret et par Garnier.

Mme Dupleix mit au cou de Jeanneton une petite croix de diamants qui était une relique et dont la vue mouilla les yeux de son mari: Tes premières pierreries, Jeanne! murmura-t-il: je n'étais pas encore riche quand je te les donnai, et ce sont les seules que tu aies gardées! Lui-même, il parut au dîner avec son grand cordon de l'ordre de Saint-Louis. Pour un moment, sa tête s'était redressée.