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Mis à jour: 15 mai 2025
On demanda deux bouteilles de porto, auxquelles le Français fit largement honneur, tandis que Fix, plus réservé, observait son compagnon avec une extrême attention. On causa de choses et d'autres, et surtout de cette excellente idée qu'avait eue Fix de prendre passage sur le Carnatic. Et
Et, soudain, la lumière se fit en lui. Il se rappela que l'heure du départ du Carnatic avait été avancée, qu'il devait prévenir son maître, et qu'il ne l'avait pas fait! C'était donc sa faute si Mr. Fogg et Mrs. Aouda avaient manqué ce départ!
Le Carnatic, ayant terminé ses réparations, a quitté Hong-Kong douze heures plus tôt sans prévenir personne, et maintenant il faudra attendre huit jours le prochain départ!"
Passepartout, qui était présent, eût volontiers embrassé le pilote, auquel Fix aurait voulu tordre le cou. "Quel est le nom de ce steamer?" demanda Mr. Fogg. "Le Carnatic," répondit le pilote. "N'était-ce pas hier qu'il devait partir?" "Oui, monsieur, mais on a dû réparer une de ses chaudières, et son départ a été remis
Le Carnatic vint se ranger au quai de Yokohama, près des jetées du port et des magasins de la douane, au milieu de nombreux navires appartenant
Il quittait ce lit d'ivrognes, et trébuchant, s'appuyant aux murailles, tombant et se relevant, mais toujours et irrésistiblement poussé par une sorte d'instinct, il sortait de la tabagie, criant comme dans un rêve: "Le Carnatic! le Carnatic!"
"Allons donc! s'écria Passepartout en faisant entendre un retentissant éclat de rire! Je savais bien que vous ne pourriez pas vous séparer de nous. Venez retenir votre place, venez!" Et tous deux entrèrent au bureau des transports maritimes et arrêtèrent des cabines pour quatre personnes. Mais l'employé leur fit observer que les réparations du Carnatic étant terminées, le paquebot partirait le soir même
Certes, l'honnête garçon avait, par prévision, aussi copieusement déjeuné qu'il avait pu avant de quitter le Carnatic; mais après une journée de promenade, il se sentit l'estomac très creux. Il avait bien remarqué que moutons, chèvres ou porcs, manquaient absolument aux étalages des bouchers indigènes, et, comme il savait que c'est un sacrilège de tuer les boeufs, uniquement réservés aux besoins de l'agriculture, il en avait conclu que la viande était rare au Japon. Il ne se trompait pas ; mais
Ici Dupleix débrouillait avec une lumineuse sûreté de mémoire l'écheveau des batailles, des révolutions, des égorgements, enroulé, noué, tordu et retordu autour des successions contestées du soud'habar du Dekkan et du fameux nabab du Carnatic. En quelques pages, il éclairait les fantastiques ténèbres de cette épopée où des héros aux noms sauvages, plus nombreux que ceux de l'Iliade et plus terribles, s'entrehachaient autour de l'éléphant blanc, monture du vieux Myrza-Jung, qui,
Que l'on juge donc du coup d'assommoir qu'il reçut, quand il entendit Phileas Fogg dire de sa voix calme: "Mais il y a d'autres navires que le Carnatic, il me semble, dans le port de Hong-Kong." Et Mr. Fogg, offrant son bras
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