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Tout seul! s'écria-t-il. Grand ami! Vaillant ami! Bussy a fait cela tout seul! sans M. de Lally, malheureux homme! ou plutôt malgré M. de Lally. Il marche, il avance, il perce! Les populations le suivent! Et il y a soixante millions d'âmes, rien que dans le Dekkan! Comprenez-vous, maintenant, toi, Jeanneton, ma fille qui entends parler de guerre depuis ton berceau, comprenez-vous l'importance de la visite que je vais rendre

Maintenant, il faut continuer l'oeuvre commencée. Le mouvement sera national, cette fois. Que dans les villes, dans les champs, les Indous se soulèvent, et bientôt les Cipayes auront fait cause commune avec eux. J'ai parcouru le centre et le nord du Dekkan. Partout, j'ai retrouvé les esprits disposés

On appelle Dekkan cette large portion de la péninsule indienne comprise entre les Ghâtes occidentales et les Ghâtes de la mer du Bengale. C'est le nom communément donné

Les affaires s'amélioraient, on avait reçu du Dekkan des nouvelles moins désastreuses, et le jugement rendu dans le grand procès des treize millions semblait pronostiquer une issue heureuse. Les quatre régiments d'avant-garde restèrent huit jours

Auparavant, se trouvait le récit des suprêmes efforts de Bussy-Castelnau dans le Dekkan et le détail des mille entraves que le nouveau directeur Godeheu avait mises

Ici Dupleix débrouillait avec une lumineuse sûreté de mémoire l'écheveau des batailles, des révolutions, des égorgements, enroulé, noué, tordu et retordu autour des successions contestées du soud'habar du Dekkan et du fameux nabab du Carnatic. En quelques pages, il éclairait les fantastiques ténèbres de cette épopée des héros aux noms sauvages, plus nombreux que ceux de l'Iliade et plus terribles, s'entrehachaient autour de l'éléphant blanc, monture du vieux Myrza-Jung, qui,

C'est pourtant ça, dit Madeleine, la justice! Mais, objecta le chevalier, Madras, Chandernagor, Bombay, le Carnatic et le Dekkan, ce n'était pas de la fausse monnaie, cela!

Il s'élança vers la table le chevalier venait de dérouler une carte de l'Inde et son doigt frissonnant pointa les trois villes reconquises par son gendre, ce brillant, cet incomparable soldat qui, malgré la Compagnie et malgré les agents payés par la France, passant par-dessus l'incapacité des uns, par dessus la trahison des autres, tracassé qu'il était par l'autorité commerciale, harcelé par l'autorité civile, contrecarré, il faut bien le dire, par l'autorité militaire elle-même, sans troupes régulières, sans argent, sans provisions, manquant de tout, y compris les munitions et les armes, tenait encore en échec dans le Dekkan par le prodige de son entêtement héroïque, la colossale puissance de l'Angleterre.

Mme de Bussy, répliqua le chevalier, attend des lettres du général qui combat vaillamment dans le Dekkan, mais qui souffre de la mauvaise volonté croissante de M. de Lally.

«Et cette résistance même, quel est son côté actif, puissant, presque miraculeux? D'où nous vint encore l'écho de ces dernières victoires imprévues, j'allais dire impossibles? Du Dekkan. Qui donc combat dans le Dekkan? Bussy. Avec quelles troupes? Avec les régiments cipayes, levés par moi; avec les Indiens francisés: avec les soldats créés par ma pensée!...