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Mis à jour: 3 juillet 2025
Madame Dabrovine: «Oh oui! mon père! les souffrances de la malheureuse Pologne me navrent; et le malheur a ouvert mon coeur aux consolations chrétiennes d'un bon et saint prêtre catholique qui vivait dans mon voisinage, et qui m'a appris
«Ma petite Elfy, voici la fille de mon coeur et le fils de mes vieux jours. Aimez-les comme vous m'aimez.» La profonde révérence d'Elfy fut interrompue par Mme Dabrovine, qui embrassa tendrement cette jeune amie de son vieil oncle. Le prince Romane lui serra la main avec effusion. Moutier reçut aussi des poignées de main affectueuses de Mme Dabrovine, du prince Romane et d'Alexandre et Michel.
Mme Dabrovine et le général étaient enchantés; Natasha était dans l'admiration et la témoignait en toute occasion. M. Jackson était fort content de ses élèves, parmi lesquels s'était imposée Natasha pour la musique, le dessin et les langues étrangères. Les leçons se donnaient dans le joli salon,
Pendant qu'on apprêtait le dîner, Mme Dabrovine et Natasha allèrent voir les chambres où l'on devait coucher; elles choisirent pour le général la meilleure et la plus grande; une belle
Le général: «J'en suis bien sûr, et c'est pourquoi je te la donne; mais tu en useras, je le veux. Ah! pas de réplique! Tu te souviens que je suis méchant quand on me résiste.» Mme Dabrovine se pencha en souriant vers son oncle et lui baisa la main. Les yeux de Natasha brillèrent. Sa mère avait encore souri. TRIOMPHE DU G
Les enfants, qui avaient fait une veillée extraordinaire et qui s'étaient amusés, éreintés, ne furent pas fâchés d'en faire autant; il était neuf heures et demie. Mme Dabrovine et Natasha ramassèrent les livres, les cahiers épars, et les rangèrent dans les armoires destinées
Le général: «Vous pouvez, mon ami, vous pouvez ce que vous voulez. Cherchez, cherchez. Adieu, bonsoir; je me couche et je m'endors content.» Dérigny rentra chez lui; les enfants dormaient, sa femme l'attendait. «Une jolie commission dont je suis chargé par le général! dit Dérigny en riant. Il faut que je me mette en campagne dès demain pour trouver un gouverneur aux jeunes Dabrovine.»
Madame Dabrovine: La vérité, la voici, mon oncle; c'est que vous êtes un peu taquin comme vous l'étiez jadis, et que vous vous amusez
Madame Dabrovine: Oh! Mon oncle, je vous en prie! Le général: lui serrant les mains: Tais-toi, tais-toi! Tu vas me rendre la colère qui a manqué m'étouffer. Laisse-moi oublier cette scène et la platitude révoltante de ta soeur; prés de toi et de tes enfants, je me sens aimé, j'aime et je suis heureux; près de l'autre, je hais et je méprise.
Mme Dabrovine serrait aussi la main de Romane et pleurait. Natasha, stupéfaite, regardait, écoutait et ne comprenait pas. «Maman, dit-elle, maman! Qu'est-ce? Pourquoi pleurez-vous? Qu'est.. il arrivé
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