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Mis à jour: 3 juillet 2025


Madame Dabrovine: «Ceux que vous aimez et qui vous aiment, mon oncle, ne peuvent jamais me gêner; c'est au contraire un plaisir pour moi de voir M. Dérigny vous soigner, vous aider dans vos travaux. En le voyant faire, j'apprendrai aussi

Madame Dabrovine: «Mais, mon cher monsieur Jackson, ils seront trop serrés, et pourtant ils ne peuvent pas rester dans cette berline sans Mme DérignyJackson, souriant: «Mlle Natasha en a bien envie, madame; nous sommes bien graves pour elle

Ces réflexions et mille autres l'occupèrent si longtemps, qu'on vint lui annoncer le dîner avant qu'elle eût séché ses larmes; elle s'élança de son lit, passa en toute hâte de l'eau fraîche sur ses yeux bouffis, lissa ses cheveux, arrangea ses vêtements et alla au salon, elle trouva le général avec Mme Dabrovine et ses enfants, qui jouaient avec leurs cousins et cousines.

Mon père! s'écria avec frayeur Mme Dabrovine, nous ne passerons pas la frontière: nous n'avons pas de passeports pour l'étranger. Ils sont dans mon bureau depuis huit jours, mon enfant, répondit le général en souriantMadame Dabrovine: «Vous avez pensé

Le général, ému de cette douleur si vive et si vraie, la serra dans ses bras et s'attendrit avec elle. Le général: «Ma pauvre enfant! ma chère Natalie! Pleure, mon enfant, pleure dans les bras de ton oncle, qui sera ton père, ton ami!...Pauvre petite! Tu as bien souffertMadame Dabrovine: «Et je souffrirai toujours, mon cher oncle! Comment oublierai-je un mari si bon, si tendre?

Elle crut comprendre que son oncle mettait de la méchanceté et de la fourberie dans sa conduite envers Mme Dabrovine et ses enfants; qu'il jouait l'affection pour mieux les désappointer, et qu'au fond il préférait

Romane: «Pardonnez, mon cher comte, si je ne partage pas votre gaieté; mais j'avoue que je n'éprouve que de la terreur devant les regards méchants et triomphants que jetait sur vous, sur Mme Dabrovine et sur moi cette nièce avide et désappointée dans ses espérancesLe général: «Fini, fini, mon cher! Elle aura Gromiline, mes terres, mes maisons, mes millions, tout enfin

Mme Dabrovine raconta

Pendant que Mme Papofski triomphait, le général arrivait chez Mme Dabrovine le visage consterné et décomposé. «Ma fille, mon enfant! elle a deviné que Romane était un Polonais! Qu'il se cache! Elle le perdra! elle le dénoncera, la misérable! Mon pauvre RomaneEt le général raconta ce qu'avait dit Mme Papofski. Madame Dabrovine: «Mon père! pour l'amour de Dieu, calmez-vous!

Et Natasha s'éloigna étonnée et pensive, pendant que Romane prenait sa place en face de ses amis et gardait le silence, de peur que le feltyègre n'entendît quelques mots de la conversation. Le général et Mme Dabrovine interrogeaient Romane du regard; profitant des cahots de la voiture, il réussit

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