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Mis à jour: 3 juillet 2025


Madame Dabrovine: «Monsieur Dérigny a raison; je crois qu'il voit très juste. Tranquillisez-vous donc, mon pauvre père. Le danger des autres vous impressionne toujours vivementMme Dabrovine serra les mains de son oncle et l'embrassa

Le général avait entendu Natasha et sa nièce; il ne dit rien, se leva, laissa entrer au salon Mme Dabrovine et sa suite, entra lui-même dans la galerie, tira vigoureusement les cheveux et les oreilles aux trois aînés, distribua quelques coups de pied

Natasha: «Mais vous, maman, vous n'en avez certainement aucun. Je le sais. J'en suis sûreMadame Dabrovine: «Tu parles comme on parle

Pour toute réponse, Romane proposa d'aller de suite porter la bonne nouvelle au curé et aux Moutier. Le général, Mme Dabrovine, les enfants, les Dérigny, voulurent être de la partie, on y alla en deux voitures. Le général annonça

Pendant que Natasha racontait avec animation la scène dont Mme Dabrovine avait vu la fin, le général donnait des signes croissants de colère. Il se leva brusquement, et, s'adressant

Madame Dabrovine: «La mort sépare les plus tendres affections, mon enfantNatasha: «Oh, mamanMadame Dabrovine: «Ma pauvre fille! je t'attriste; j'ai tort. Mais voil

Natasha et Romane embrassèrent tendrement le vieux général, et allèrent tous deux se jeter dans les bras de Mme Dabrovine, qui les embrassa et les bénit en pleurant. La nouvelle du mariage de Natasha fut portée par elle-même aux Dérigny et au bon curé, qui étaient depuis longtemps dans le secret; puis

Natasha: «Si on lui en a fait, elle ne devrait pas y croire, vous connaissant si bonne, si franche, si serviable, si pleine de coeurC'est parce que tu m'aimes beaucoup que tu me juges ainsi, ma bonne fille», dit Mme Dabrovine en embrassant Natasha et en la serrant contre son coeur.

Le lendemain, même scène; Mme Dabrovine quitte la table et va s'étendre sur un canapé dans le salon; le général, quand il reste seul avec Mme Papofski, se plaint de l'ennui que lui donne la santé de sa nièce Dabrovine, et demande conseil

Mme Dabrovine prit le portefeuille des mains de sa fille, alla près de son oncle, l'embrassa. «Merci, mon père, dit-elle avec attendrissement; merci du fond du coeur. Natasha a raison; j'avais tort. J'accepterai désormais tout ce que vous voudrez m'offrir.

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qu'oublieuse

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