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Mis à jour: 3 juin 2025
Les jours suivants se passèrent sans événements remarquables. Mme Dabrovine témoignait une grande estime et une grande confiance
Le général: «Y a-t-il de la place pour moi, mes enfants, dans votre voiture?» Natasha: «Certainement, mon oncle; je me mettrai en face de vous avec Alexandre et Michel et vous serez près de maman.» Le général fit monter en voiture sa nièce Dabrovine, malgré une légère résistance, car elle aurait voulu faire monter son oncle le premier. A toi, Natasha, maintenant; monte! Appuie-toi sur mon bras.»
Comme il fait le bien avec grâce et amabilité!». Madame Dabrovine: «Que Dieu le bénisse et lui rende le bonheur qu'il nous donne, mon enfant! L'éducation de tes frères m'inquiétait beaucoup. Me voici tranquille sur leur avenir... et sur le tien, Natasha.» Natasha: «Oh! maman, le mien est bien simple! C'est de rester toujours avec vous et avec mon bon oncle.»
Pendant qu'elle roulait son plan dans sa tête et qu'elle s'absorbait dans ses pensées, son regard fixe et méchant, son sourire de triomphe, son silence prolongé attirèrent l'attention du général, de Mme Dabrovine et de Romane. Ils se regardèrent sans parler; le général fit
Mme Dabrovine convint avec son oncle qu'elle se plaindrait vivement de souffrances nouvelles; que le général proposerait de hâter le départ pour aller attendre la saison des eaux dans un climat plus doux, et qu'on le fixerait au 1er juin devant Mme Papofski, mais en réalité au 1er mai, dans quinze jours.
Quand il fut dans le salon de Mme Dabrovine et qu'il eut soigneusement fermé la porte, il se laissa aller
Madame Dabrovine: «Elle nous croit plus riches que nous ne sommes, ma chère enfant.» Natasha: «Maman, comme mon oncle est bon pour nous!» Madame Dabrovine: «Oui, bien bon! il l'a toujours été pour moi et pour ton pauvre père; nous l'aimions bien aussi.» Natasha: «Maman... pourquoi n'est-il pas bon pour ma tante?»
L'entrée de Mme Dabrovine rétablit le calme comme par enchantement. Elle s'approcha d'Alexandre et lui dit sévèrement: «N'êtes-vous pas honteux, Alexandre, de vous battre avec votre cousine?»
La mère sourit et ne répondit pas. Les garçons arrivèrent avec leurs devoirs terminés; Mme Dabrovine et sa fille s'occupèrent
Madame Dabrovine: «Que faire, mon père? Faut-il la laisser aller?» Le général: «Laisse-la, laisse-la, cette pauvre petite! Comme dit Jackson, nous sommes ennuyeux
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