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Mis à jour: 15 juin 2025
Arrivée, chemin faisant, devant la maison d'Asan, ses deux filles la voyent d'un balcon, & ses deux fils courent
C'était donc un poème authentique serbo-croate, et on peut dire qu'il conserve l'empreinte de l'original malgré tous les changements que Nodier lui a fait subir. La Femme d'Asan a d'autant plus d'importance pour nous que ce fut elle qui, dans la version de Nodier, signala
Cette invitation n'embarrassa pas l'auteur de Jean Sbogar. Après avoir reproduit les quatre premiers vers serbo-croates de la Femme d'Asan, il expliqua ainsi, dans une note spéciale, les difficultés qu'aurait rencontrées une publication intégrale du poème «esclavon»: Un homme de lettres distingué, disait-il, qui a bien voulu prendre quelque intérêt
Dans ce chapitre il inséra un poème «morlaque», la Triste ballade de la noble épouse d'Asan-Aga («Xalostna Piesanza plemenite Asan-Aghinize») avec, en regard, une traduction en vers italiens («Canzone dolente della nobile sposa d'Asan Aga »). Nous ne savons pas de qui Fortis avait obtenu le manuscrit de cette pièce, car, non seulement elle était inédite
Mais les neiges ont disparu, mais le cygne a repris son vol vers les froides régions du nord. Ce n'est ni la neige, ni le cygne; c'est le pavillon d'Asan, du brave Asan qui est douloureusement blessé, et qui pleure de sa colère encore plus que de sa blessure. Car voici ce qui est arrivé.
A ces voix l'épouse d'Asan tourne ses pas, & courant les bras étendus vers son frère, elle lui dit: «Ah mon frère! vois ma honte extrême! Il me répudie, moi qui lui ai donné cinq enfans»! Le Beg se tait & ne répond rien: mais il tire d'une bourse de soye vermeille, une feuille de papier, qui permet
Sa mère et sa sœur l'ont visité dans sa tente, et son épouse qui les avait suivies, retenue par la pudeur du devoir, s'est arrêtée au dehors parce qu'il ne l'avait point mandée vers lui. C'est ce qui cause la peine d'Asan. 4º Traduction de Mme Ernestine Panckoucke, dans les Poésies de Goethe, Paris, 1825: «Complainte de la noble femme d'Azan Aga. Traduite du slave.»
La triste veuve d'Asan, entendant les cris de ses enfans, se tourne vers le premier Svati: «Pour l'amour de Dieu, cher & vénérable arrête les chevaux près de cette maison, afin que je donne
On lit avec le plus vif intérêt le Bey Spalatin, disait-elle, et surtout la Femme d'Asan, dont la touchante histoire pourrait fournir le sujet d'un ouvrage dramatique. Peut-être y a-t-il eu un peu de coquetterie de la part de M. Nodier
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