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Mis à jour: 4 juin 2025


[Note 390: Mlle Panckoucke, femme de l'académicien Suard, née en 1750

L'un des plus piquans est intitulé: Lettre de Mélophile. Paris, chez la veuve Panckoucke, an IX, in-8°., 146 pages, y compris les notes.

En 1825, Mme E. Panckoucke traduisit la Complainte de la noble femme d’Asan Aga dans les Poésies de Goethe . La traduction, quoique très gauche, fut assez lue et connue. En 1834, Mme

[Note 46: Une autre fois, chez Mme Panckoucke, Paul Foucher, toujours dans son costume d'archer, ayant beaucoup valsé avec Mme Mélanie Waldor, un bas-bleu assez ridicule, le poète s'était permis de célébrer cette danse inoubliable dans une petite pièce dont l'impertinence fit scandale: A une Muse ou Une Valseuse dans le cénacle romantique, six strophes signées «Vidocq». Le comédien Régnier en avait reçu l'autographe de Musset lui-même. Voir la Gazette anecdotique des 15 septembre et 15 octobre 1881. Les premiers vers en donneront une idée: Quand Mme W...

Sa mère et sa sœur l'ont visité dans sa tente, et son épouse qui les avait suivies, retenue par la pudeur du devoir, s'est arrêtée au dehors parce qu'il ne l'avait point mandée vers lui. C'est ce qui cause la peine d'Asan. Traduction de Mme Ernestine Panckoucke, dans les Poésies de Goethe, Paris, 1825: «Complainte de la noble femme d'Azan Aga. Traduite du slave

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