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Mis à jour: 31 mai 2025
Les adversaires de Tallien demandèrent en représaille la publication d'une lettre du prétendant au duc d'Harcourt, où, parlant de ce qu'on lui mandait de Paris, il disait: Je ne puis croire que Tallien soit un royaliste de la bonne espèce. On doit se souvenir que les agens de Paris se flattaient d'avoir gagné Tallien et Hoche. Leurs vanteries habituelles, et leurs calomnies
Une voix doucette et charmante cria au bout de la ruelle, derrière l'angle de l'avenue d'Harcourt: Voil
[Note 36: Gilonne d'Harcourt, mariée 1º
Malgré cet échec, le comte d'Artois n'en continua pas moins ses démarches auprès du gouvernement anglais. Il ne cessait de lui demander des facilités pour son passage en Vendée. Non content d'y employer le duc d'Harcourt, il envoyait
Le 12 juillet, d'Hervilly et Vaugiraud débarquaient en Angleterre. Reçus par de Castries et d'Harcourt, ils racontèrent qu'
Nous devons jouer le Mariage de Figaro, j'y remplirai le rôle de la comtesse; M. de Rouhaut, Almaviva: le duc d'Harcourt, Figaro. Il faut que vous soyez notre Suzanne et que vous mettiez la pièce en scène. Vous sentez bien, ajouta-t-elle, que je ne vous laisserai pas dans le pavillon du jardin. M. Millin vous y remplacera et vous cédera son logement qui est près de moi.
«Maintenant voici les points sur lesquels je vais prescrire au duc d'Harcourt d'insister avec force: lº pour la prompte exécution de toutes les promesses faites; 2º sur tous les moyens de hâter l'expédition qui doit me porter sur les côtes de France; 3º sur un traitement quelconque, soit de l'Espagne, soit de l'Angleterre, qui nous donne les moyens d'exister; 4º enfin sur mon arrivée en Angleterre, car jamais ma présence n'a été plus nécessaire sous tous les rapports.
En dépit de ces mauvaises dispositions, le comte de Woronsow alla avec le duc d'Harcourt chez lord Grenville. Mais, dès qu'il sut de quoi il s'agissait, le ministre anglais se récria. Il souleva sur-le-champ des objections qui rendaient impossible, selon lui, le séjour, même momentané, du comte d'Artois en Angleterre. La première était tirée des dettes que le prince avait contractées
Six jours après, le 2 novembre, d'Harcourt jugea que l'heure était venue d'en entretenir lord Grenville. La réponse du ministre fut aussi mystérieuse que brève: Nous laisserons Pichegru
«Tu verras, mon ami, dans les lettres du duc d'Harcourt, tout ce que je sais sur ce qui concerne le prince de Condé. Il est sûr qu'on lui a remis une somme de six mille livres sterlings pour soutenir son corps. Il est également sûr qu'on s'occupe beaucoup de lui en Angleterre et des moyens d'augmenter son armée.»
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