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Vous êtes folle, me disait M. Millin, vous vous occupez de niaiseries, plutôt que de choses utiles. Je me trouvai fort désappointée, et me promis bien

Millin, II, 487. Sur l'insalubrité d'Arles, id., III, 645. Papon, I, 20, proverbe: Avenio ventosa, sine vento venenosa, cum vento fastidiosa. En 1213, les évêques de Narbonne, etc., écrivent

Je ne connaissais pas alors M. Millin; je crus que c'était un de nos beaux chanteurs de société, le coryphée des amateurs, et j'étais impatiente de le voir arriver, lorsqu'on s'écria: «Ah! le voiciJe vis entrer un petit homme fort laid; et lorsqu'il voulut indiquer l'air du vaudeville qu'on lui demandait, je crus entendre chanter polichinelle.

Millin, III, 346. La fête patronale de chaque village s'appelle Romna-Vagi, et par corruption Romerage, parce qu'elle précédait souvent un voyage de Rome que le seigneur faisait ou faisait faire (?) Millin, III, 336. C'est

Contes en vers. Paris, 1805, in-8º. Alençon, 1805, in-8º. Dissertation sur les échecs. 1803, in-8º. Réimprimé, avec des additions, dans le Magasin encyclopédique de Millin; 1806. Mabile d'Alençon, romance. 1805, in-32. Réimprimée dans le Journal de l'Orne et dans les Archives normandes.

Nous devons jouer le Mariage de Figaro, j'y remplirai le rôle de la comtesse; M. de Rouhaut, Almaviva: le duc d'Harcourt, Figaro. Il faut que vous soyez notre Suzanne et que vous mettiez la pièce en scène. Vous sentez bien, ajouta-t-elle, que je ne vous laisserai pas dans le pavillon du jardin. M. Millin vous y remplacera et vous cédera son logement qui est près de moi.

La fécondité de cet auteur est surprenante. Le fait suivant, que je tiens de Millin de Grand-Maison, en donnera une idée. Feu Nicolet, fondateur du théâtre des grands Danseurs du Roi, dit théâtre de la Gaité depuis qu'il est triste, écrivit un jour

Je revis M. Millin chez Julie Talma,

Lorsque M. Denon revint d'Egypte, je lus chez M. Millin, son ouvrage, avant qu'il parût dans le monde. Je fis alors une connaissance plus intime avec Isis et Osiris, et il me reprit aussi une grande passion pour la botanique que j'avais un peu négligée; d'ailleurs c'était la mode. Toutes les femmes élégantes herborisaient, allaient au Jardin des Plantes au cours de M. Millin et

M. Millin jouait un rôle de bailly et je jugeai promptement qu'il était aussi mauvais acteur que mauvais chanteur. Quel est donc cet original? demandai-je