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Mis à jour: 14 juin 2025


J'allai voir aussi les Croates, dont j'avais vengé la querelle et qui rebâtissaient leurs demeures: elles y gagnèrent, comme il arrive toujours en pareil cas; des ingénieurs présidèrent

«Telles sont les seules et uniques modifications que j'ai apportées aux régiments croates. Ainsi Votre Excellence pourra se convaincre, d'après les détails ci-dessus, qu'ils se régissent, s'administrent selon leurs anciennes lois, et que tout ce que j'ai ordonné n'a tendu qu'

«Cet acte de sévérité a produit l'effet que j'en attendais, et a répandu une grande terreur. Je me suis porté ensuite sur la ville de Bihacz, qui est fortifiée, et, après avoir placé devant cette ville quatre obusiers et quatre mortiers, j'ai écrit, non au capitaine, mais aux capitaines principaux, tous de cette ville, pour leur demander s'ils ne voulaient pas enfin renoncer aux droits qu'ils s'étaient arrogés d'insulter notre territoire, et de piller les Croates. Ils se sont rendus devant moi pour m'exprimer les regrets du passé, et promettre de ne jamais donner aucun sujet de plainte. Ils ont signé cette promesse en renonçant, s'ils y manquaient,

«Je fais rétablir en peu de jours les redoutes et les retranchements qui défendent toute la frontière, et qui permettent aux Croates de la garder avec peu de monde. «Et quel inconvénient peut avoir ce parti? Cette affaire est étrangère au Grand Seigneur, puisqu'il a donné deux firmans pour rétablir la paix de la frontière et nous rendre le terrain usurpé.

La bataille finissait, lorsqu'il déserta un mamelouk d'Osman-Bey-Ottambourgis: c'était un Hongrois, ancien sous-officier des hussards autrichiens du régiment de Wentschal; il avait été pris dans la guerre entre cette puissance et la Porte, en 1783 ou 1784. Il nous vint de même d'anciens dragons de La Tour, et même des officiers des corps francs hongrois et croates, qui, ayant été pris dans la même guerre, avaient été conduits

«J'espère que Votre Altesse Impériale a reçu la lettre que j'ai eu l'honneur de lui écrire de Gradchatz, par laquelle je l'instruisais du début de notre campagne, de la défaite des Croates au mont Kitta, de la prise du général Stoisevich, commandant en chef, et de l'affaire de Gradchatz.

Un convive prétend que les Croates ne sont pas moins braves que les Monténégrins. Ils l'ont bien prouvé, dit-il, sous Marie-Thérèse, dans les guerres contre Napoléon, et sur les champs de bataille italiens en 1848, 1859 et 1866. Ce sont eux qui, sous le ban Jellachitch, ont sauvé l'Autriche, après la révolution de mars; sans leur résistance, les Hongrois prenaient Vienne avant même que les Russes eussent songé

«Donner au tribunal civil la police correctionnelle et la justice criminelle; dans tous les cas, ôter l'une et l'autre aux chefs militaires, c'est détruire les régiments croates, car c'est ôter une grande partie de leur puissance aux officiers. Il n'y aurait plus ni discipline ni obéissance; il n'y aurait plus que désordre et confusion.

Au loin, devant eux et devant l'or fluide jailli des brasiers mobiles, les essaims de hussards noirs s'envolèrent. Les patrouilles de grenadiers ennemis coururent. Les rangs des fusiliers croates fléchissaient. Les uhlans s'éparpillèrent, galopèrent au ciel vert et rose d'un crépuscule d'été. Des groupes éperdus franchirent les haies.

Un régiment de Croates occupait les maisons de ce village; mais, au lieu de tirer sur nous par les croisées ils se trouvaient hors d'atteinte des sabres de notre cavalerie, ces hommes, quittant stupidement l'excellente position qu'ils occupaient, descendirent bravement dans la rue, ils espéraient arrêter nos escadrons avec leurs baïonnettes, en se formant en colonne serrée.

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