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ANGELO. Il jouit d'une réputation respectable, d'un crédit sans bornes, il est fort aimé: il ne le cède

Pour donner crédit

Avec cette confiance réciproque, les transactions se renouvellent; et, d'emprunts en emprunts, celui qui abuse de son crédit marche vers l'abîme de la banqueroute, et l'on tombe

Avec votre permission, très noble empereur, reprit Jean, mieux vaut que vous m'écriviez cette lettre de votre main, et que vous la scelliez vous-même, car outre qu'étant toute de votre écriture elle aura un plus grand crédit, nul ne saura que nous deux ce qui se sera passé entre vous et moi.

Vous doutez-vous, dit-il, de ce qu'on peut paraître, et surtout faire de folies, avec un million?... Mettons que votre père en ait dépensé deux.... Mettons qu'il en ait dépensé quatre!... Il en a été volé douze au Comptoir de crédit mutuel.... sont les huit autres?...

Le comte avait un crédit illimité sur moi, crédit ouvert par la maison Thomson et French, de Rome. Il est venu me demander une somme de cinq millions d'un seul coup; je lui ai donné un bon sur la Banque: c'est l

Un homme délicieux, ce jeune robin, disait-elle, délicat et sensible. Il est assommant qu'il ne soit pas . On peut le voir nonobstant, ses pères étaient fort gens de bien et sa mère était une Cottevise qui a mal tourné. Je lui veux du bien et je l'avancerai dans le monde de tout mon crédit.

La lettre de crédit ayant disparu avec son portefeuille, il se trouve sans ressources. Un de nos émissaires, qui le suit nuit et jour, lui a persuadé de s'adresser

Fortior multo que Sanson, En cest assault conjuncitur Contra de Venus l'escusson, Le plus fort bourdon plicatur; . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sed quisquis pas ne le concoit, Fol non credit tant qu'il recoit. Prince très saige, legitur Quod astucior si decoit, Le mieulx nagent y mergitur; Fol non credit tant qu'il recoit.

Ce rejet laissa les esprits dans une grande anxiété, et on retomba dans les plus grandes incertitudes. Les contre-révolutionnaires, joyeux de ce conflit d'idées, prétendaient que les difficultés de la situation étaient insolubles, et que la république allait périr par les finances. Les hommes les plus éclairés, qui ne sont pas toujours les plus résolus, le craignaient. Les patriotes, arrivés au plus haut degré d'irritation, en voyant qu'on avait eu l'idée d'abolir les assignats, criaient qu'on voulait détruire cette dernière création révolutionnaire qui avait sauvé la France; ils demandaient que, sans tâtonner si long-temps, on rétablît le crédit des assignats par les moyens de 93, le maximum, les réquisitions et la mort. C'était une violence et un emportement qui rappelaient les années les plus agitées. Pour comble de malheur, les événemens sur le Rhin s'étaient aggravés: Clerfayt, sans profiter en grand capitaine de la victoire, en avait cependant retiré de nouveaux avantages. Ayant appelé