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Mis à jour: 12 juin 2025


On vous parle sans cesse de Napoléon, du concordat de 1801; le retour

[En marge: Le Premier Consul pour en finir, rédige un projet de Concordat, et l'envoie

{p.330} Après l'adoption du Concordat par le Corps législatif en 1802 , Lucien, ministre de l'intérieur, donna une fête

Quelle «réclame» pour un livre que le traité d'Amiens et le Concordat!

Le samedi soir, veille de Pâques, cette contestation n'était pas terminée. M. Portalis fut chargé d'aller annoncer au cardinal que la cérémonie du lendemain n'aurait pas lieu, que le Concordat ne serait point publié, et resterait sans effet, si l'on insistait plus long-temps sur la rétractation demandée. Cette résolution, au surplus, était sérieuse, et le Premier Consul, en se montrant plein de condescendance pour l'

Le Pape était donc satisfait, mais plein d'émotion , et il pressait vivement l'achèvement de l'entreprise si heureusement commencée. La congrégation des cardinaux était toute favorable au Concordat depuis sa nouvelle rédaction, et elle se prononça d'une manière affirmative. Le Pape, pensant qu'il fallait désormais se jeter dans les bras du Premier Consul, et accomplir avec éclat une oeuvre qui avait un aussi noble objet que le rétablissement du culte catholique en France, voulut que la cérémonie des ratifications fût entourée de beaucoup de solennité. En conséquence, il donna ces ratifications dans un grand consistoire, et, pour ajouter encore

Les formalités indispensables dont il fallait que la publication du Concordat fût précédée, avaient pris beaucoup plus de temps qu'on ne l'avait cru d'abord, et avaient conduit jusqu'

Au moyen de cette clause ajoutée au concordat, il ne serait plus au pouvoir des Papes de prolonger

»Croiriez-vous, continua Sa Majesté, qu'il m'écrivit huit jours après, qu'il était bien fâché d'avoir signé, que sa conscience lui en faisait un reproche, et qu'il me priait avec instance de regarder le concordat comme non avenu? C'est qu'immédiatement après que je l'eus quitté, il retomba dans les mains de ses conseillers habituels, qui lui firent un épouvantail de ce qu'il venait d'arrêter. Si nous eussions été seuls, j'en aurais fait ce que j'aurais voulu. Je lui répondis que ce qu'il me demandait était contraire aux intérêts de la France, qu'étant d'ailleurs infaillible, il n'avait pu se tromper, et que sa conscience était trop prompte

Bonaparte avait engagé des négociations avec la cour de Rome dès juin 1800, par l'intermédiaire du cardinal Martiniane évêque de Verceil. Le concordat fut signé le 15 juillet 1801. Le cardinal Consalvi était secrétaire d'

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