Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 7 mai 2025


On doit donc conclure de tout ceci que, si l'usage d'ériger des dolmens n'avait pas disparu sous la domination romaine, rien ne prouve qu'il n'ait pas existé avant elle et même longtemps avant elle. Rien absolument ne permet de donner une date au commencement de cet usage; mais était-il celtique, et quel état social supposait-il? Voil

«Lorsque Paris eut enfin été subjugué par les Romains et réduit au rang des villes tribulaires, dit un historien , on voit, sous la protection immédiate du proconsul, qui était seul chargé du gouvernement de la Gaule celtique, s'élever dans ses murs un corps d'officiers subalternes chargé de rendre la justice en son nom, et dans des cas peu importants, dont on pouvait même appeler encore devant ce magistrat suprême.

L'idée même de la personnalité libre, qui nous apparaissait confuse dans la barbarie guerrière des clans galliques, plus distincte dans le druidisme, dans sa doctrine d'immortalité, elle éclate au cinquième siècle. Le Breton Pélage pose la loi de la philosophie celtique, la loi survie par Jean-l'

Au IXe et au Xe siècle, ces provinces nous ont été enlevées par une grande injustice diplomatique, mais elles ont gardé l'indélébile empreinte celtique. Les laisser

Le voyage en enfer, la vision surnaturelle des lieux s'exerce la justice divine, était, vous le savez, une donnée familière aux imaginations du moyen âge. Depuis le VIe siècle, la tradition s'en était accréditée. Sortie des monastères, elle s'était répandue dans tous les rangs de la société laïque. La plus fameuse de ces légendes, celle du purgatoire de saint Patrice, d'origine celtique, avait été écrite en vers et en prose, dans la langue latine d'abord, puis dans les langues vulgaires. Celle du frère Albéric, moine du Mont-Cassin, qui se rapporte

Le culte de «l’Homère celtique» était entièrement établi quand Letourneur donna sa traduction des «poésies galliques d'Ossian, fils de Fingal» , traduction qui eut un succès prodigieux; il ne sera pas affaibli vingt ans plus tard, quand paraîtra celle de Baour-Lormian.

Songe qui ne finit pas. Et, pour que le rêve devienne un jour réalité, Moreau de Jonnès en tombant, ce grand chêne celtique abattu et jamais courbé, le combattant du 10 août, le volontaire de Rennes, le soldat de Hoche, nous lègue un de ces héritages qui profitent

Le monde Ibérien est antérieur au monde Celtique..... On n'en connaît que la décadence. Nous ne trouvons pas chez les Ibères l'institut des Druides et Bardes. Aussi moins de régularité dans la langue basque, pour revenir des dérivés aux racines.

Et d'abord, est-ce aux Grecs qu'on veut rapporter la civilisation primitive des Gaules? On s'est évidemment exagéré l'influence de Marseille. Elle put introduire quelques mots grecs dans l'idiome celtique ; les Gaulois, faute d'écriture nationale, purent dans les occasions solennelles emprunter les caractères grecs ; mais le génie hellénique était trop dédaigneux des barbares pour gagner sur eux une influence réelle. Peu nombreux, traversant le pays avec défiance et seulement pour les besoins de leur commerce, les Grecs différaient trop des Gaulois, et de race et de langue; ils leur étaient trop supérieurs pour s'unir intimement avec eux. Il en était d'eux comme des Anglo-Américains

Cette impression est différente, sur des sujets quelquefois semblables, de celle qui se dégage de la Légende des Siècles. Victor Hugo écrit l'histoire, non seulement pittoresque, mais morale de l'humanité. Il déroule cette histoire en une série de petites épopées lyriques, avec des surprises, des coups de théâtre, des explosions d'amour ou d'indignation, des vers immenses faits pour être clamés sur quelque promontoire, par un grand vent, dans les crépuscules. Victor Hugo cherche des drames et montre le progrès de l'idée de justice, M. Leconte de Lisle ne voit que des spectacles étranges et saisissants, qu'il reproduit avec une science consommée, sans que son émotion intervienne. On le lui a beaucoup reproché. Assurément, chaque lecteur est juge du plaisir qu'il prend, et je crains que M. Leconte de Lisle ne soit jamais populaire; mais on ne peut nier que les sociétés primitives, l'Inde, la Grèce, le monde celtique et celui du moyen âge ne revivent dans les grandes pages du poète avec leurs mœurs et leur pensée religieuse. Il n'est pas impossible de s'intéresser

Mot du Jour

épuisant

D'autres à la Recherche