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Mis à jour: 1 mai 2025


Ont paru; Jaunes contre Blancs, par R. Castex. 1 vol., Lavauzelle, 3 fr. Histoire de la littérature française classique (1515-1530), par Ferdinand Brunetière. 1 vol. in-8°, Delagrave, 2 fr. 50. L'Impossible, par Jean de la Brète. 1 vol. in-16, Plon-Nourrit et Cie, 3 fr. 50. La Villa de dessus, par J.-Jacques Langlois. 1 vol., Victor Havard et Cie, 3 fr. 50. L'

Ainsi M. Brunetière a pu, l'an dernier,

Toute oeuvre de poésie ou d'art a été de tout temps un sujet de disputes et c'est peut-être un des plus grands attraits des belles choses que de rester ainsi douteuses, car, toutes, on a beau le nier, toutes sont douteuses. M. Brunetière ne veut pas convenir tout

Spiritualisme ou matérialisme, déisme, panthéisme, déterminisme, c'est nous, nous seuls. C'est le mirage qui n'atteste que la réalité de nos regards. Mais que seraient les déserts de la vie sans les mirages éclatants de nos pensées? Il y a pourtant des doctrines funestes, dit M. Brunetière, et sans le Vicaire savoyard nous n'aurions pas eu Robespierre.

Aussi fut-il comme repoussé avec impatience par tout ce que la France comptait d'esprits élevés, délicats ou tout simplement lettrés. Scherer ne pouvait même pas en entendre parler; M. Brunetière le combattit avec acharnement, et de sa longue campagne contre lui il est resté tout un volume: le Roman naturaliste, qui est un des meilleurs ouvrages du célèbre critique; M. Jules Lemaître fut le plus indulgent et, dans son célèbre article de 1884, s'attacha surtout

En fait, réalités et apparences, c'est tout un. Pour aimer et pour souffrir en ce monde, les images suffisent; il n'est pas besoin que leur objectivité soit démontrée. De quelque façon que l'on conçoive la vie, et la connût-on pour le rêve d'un rêve, on vit. C'est tout ce qu'il faut pour fonder les sciences, les arts, les morales, la critique impressionniste et, si l'on veut, la critique objective. M. Brunetière estime qu'on se quitte soi-même et qu'on sort de soi tant que l'on veut,

Ces préjugés, je n'en prendrai des exemples que dans les études de M. Brunetière sur nos contemporains. Ce sont celles qui m'intéressent le plus, et d'ailleurs je l'y trouve tout entier, puisqu'il ne juge les écrivains d'aujourd'hui que par comparaison avec ceux du XVIIe siècle et que l'opinion qu'il a de ceux-ci est contenue dans le jugement qu'il porte sur ceux-l

On a pu relever, dans cet admirable Consulat comme dans la Révolution, des inexactitudes et des inadvertances. M. de Martel n'y manque point, après Charras, Lanfrey, Barni et tant d'autres. Mais qui oserait soutenir que le Napoléon de Lanfrey est aussi vrai que celui de M. Thiers? De bonne foi, lequel des deux est le plus vivant? N'est-ce point M. Brunetière qui disait de l'histoire de M. Thiers: «C'est encore la plus ressemblante»? M. Thiers n'a parlé, a-t-on dit, dans ces vingt volumes, que «des grandeurs de chair», et il n'a rien dit de celles de l'esprit et des lettres. Il a fait l'histoire des affaires. Le mot est, je crois, de M. Nisard. Soit! Ce n'est pas la plus aisée

Tout ce qu'il découvrira, tout ce qu'il contemplera, tout ce qu'il adorera dans l'univers ne sera jamais que le reflet de sa propre pensée, de ses joies, de ses douleurs et de son anxiété sublime. Une philosophie inhumaine, dit M. Brunetière. Quel non-sens! Il ne saurait y avoir rien que d'humain dans une philosophie.

[Note 125: Enquête, t. I, p. 186. Brunetière, maître de conférences

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