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Mis à jour: 13 juin 2025


Depuis quelque temps Françoise Baudoin s'était agenouillée pour prier avec ferveur: elle suppliait Dieu d'avoir pitié d'Agricol et de Dagobert, qui, dans leur ignorance, allaient commettre un grand crime; elle conjurait surtout le Seigneur de faire retomber sur elle seule son courroux céleste, puisqu'elle seule était la cause de la funeste résolution de son fils et de son mari. Dagobert et Agricol terminaient en silence leurs préparatifs: tous deux étaient très pâles et d'une gravité solennelle: ils sentaient tout ce qu'il y avait de dangereux dans leur entreprise désespérée. Au bout de quelques minutes, dix heures sonnèrent

Curieux! ma foi, non, dit le duc; c'est ma femme qui paye... elle peut se passer toutes ses fantaisies... elle est plus riche que moi... Pendant cet entretien, M. Baudoin avait étalé sur un bureau plusieurs admirables colliers de rubis et de diamants. Quel éclat!... et que ces pierres sont divinement taillées! dit lord Douglas.

Je me décide pour ce collier, dit M. d'Harville. Vous aurez, monsieur Baudoin,

Après avoir frappé, la femme de confiance de la princesse de Saint-Dizier entra, et demanda Françoise Baudoin. Elle n'y est pas, madame, dit timidement la Mayeux, assez étonnée de cette visite, et baissant les yeux devant le regard de cette femme.

M. Hardy signa et retomba dans son accablement. À cet instant, un domestique, après avoir frappé, entra et dit au père d'Aigrigny: M. Agricol Baudoin demande

Hélas! pauvre Baudoin... il a tant souffrir depuis qu'il est séparé de nous! À son âge, soixante ans passés... Ah! mon cher enfant... mon coeur se fend quand je pense qu'il va ne faire, peut-être, que changer de misère. Que dites-vous!... Hélas! je ne gagne rien...

"Permettez-moi, reprit-il, de vous rappeler en quelques mots comment certains esprits ardents, embarqués pour des voyages imaginaires, prétendirent avoir pénétré les secrets de notre satellite. Au XVIIe siècle, un certain David Fabricius se vanta d'avoir vu de ses yeux des habitants de la Lune. En 1649, un Français, Jean Baudoin, publia le Voyage fait au monde de la Lune par Dominique Gonzalès, aventurier espagnol. A la même époque, Cyrano de Bergerac fit paraître cette expédition célèbre qui eut tant de succès en France. Plus tard, un autre Français, le nommé Fontenelle, écrivit la Pluralité des Mondes, un chef-d'oeuvre en son temps; mais la science, en marchant, écrase même les chefs-d'oeuvre! Vers 1835, un opuscule traduit du New York American raconta que Sir John Herschell, envoyé au cap de Bonne-Espérance pour y faire des études astronomiques, avait, au moyen d'un télescope perfectionné par un éclairage intérieur, ramené la Lune

Cette chère fille n'est-elle pas la soeur adoptive d'Agricol Baudoin, le brave ouvrier, le poète énergique populaire? Eh bien! est-ce que l'affection d'un tel homme n'est pas la meilleure des garanties, et ne permet pas, pour ainsi dire, de juger sur l'étiquette? ajouta Rodin en souriant.

Voici, monsieur le marquis, l'adresse du joaillier; il se nomme M. Baudoin, dit-il

«Hier, j'étais descendue chez Mme Baudoin pour panser une plaie légère qu'elle avait

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