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Mis à jour: 31 mai 2025
Grande bataille de Smolensk, entre l'armée française commandée par Napoléon en personne, et les deux armées russes aux ordres des généraux Barclay de Tolly et prince Bagration. L'ennemi, battu sur tous les points, est obligé encore une fois de précipiter sa retraite. 18 août. Bataille de Polotsk, où le général Gouvion St.-Cyr défait le général russe Witgenstein.
Où Votre Majesté daignera m'envoyer. Ah! ah! Tu prends goût aux missions diplomatiques?... Eh bien, te sens-tu le courage de retourner au camp des Anglais? Pourquoi non, seigneur? Parce que je suis devenu riche, croyez-vous que je sois devenu poltron? Et tu me rapporteras des nouvelles de ton ami Barclay? Autant qu'il vous plaira, seigneur maharajah. Est-ce tout? Va, pars.
Bataille de Gorodeczna, où le prince de Schwartzenberg, commandant l'aile droite de la grande armée française, défait complètement l'armée aux ordres du général Tormasow. Même jour. Prise de Madrid par l'armée anglo-portugaise. Même jour. Défaite d'un corps russe de l'armée du général Barclay de Tolly par le maréchal Ney,
«John Barclay, «Major général des armées de Sa Majesté Britannique, «Au camp, 14 mars 1860.» Corcoran froissa le billet avec indignation. «Abdiquer! trahir les Mahrattes! me laisser dépouiller! accepter une pension du spoliateur! et il a l'effronterie, si j'accepte, de m'offrir son estime! Eh bien, je vais, moi, lui offrir quelque chose
Il parlait encore lorsque les cavaliers d'Holkar amenèrent un courrier intercepté qui portait une dépêche au camp anglais. Corcoran rompit le cachet et lut tout haut ce qui suit: «Lord Henry Braddock, gouverneur général de l'Hindoustan, au colonel Barclay.
Colonel, dit Corcoran, vous violez le droit des nations! Plaît-il?» demanda Barclay. Au même instant Sita parut, et sa présence apaisa la querelle, qui commençait
«Robarts, dit Barclay, allez chercher miss Sita, et amenez-la ici avec tous les égards qu'un gentleman anglais doit
Conversation émouvante de Louison et du capitaine Corcoran avec le colonel Barclay.
Corcoran couvrait la retraite et commandait l'arrière-garde, qui fut d'ailleurs très-peu inquiétée. En se rapprochant de Bhagavapour, le colonel Barclay craignait un piége, et, de peur de s'engager dans quelque embuscade, il fit halte
L'ennemi se retirait par diverses directions. Voici les dispositions premières et les modifications que les circonstances y apportèrent. Le corps de Barclay, formant la droite de l'armée, reçut ordre de se retirer par la grande route de Dahme, Waldgies, Hübel et Peterswald, et de couvrir ce débouché principal pour entrer en Bohême.
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