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Mis à jour: 14 juin 2025


Retraite de l'armée anglo-portugaise; lord Wellington se retranche dans ses lignes, en avant de Lisbonne. 14 octobre. L'abbé Maury, cardinal, est nommé par l'empereur archevêque de Paris. 15 octobre. Défaite des Anglais sur la côte du royaume de Grenade, par le général Sébastiani. 18 octobre, Décret qui ordonne l'établissement des cours prévôtales des douanes.

Bataille de Gorodeczna, le prince de Schwartzenberg, commandant l'aile droite de la grande armée française, défait complètement l'armée aux ordres du général Tormasow. Même jour. Prise de Madrid par l'armée anglo-portugaise. Même jour. Défaite d'un corps russe de l'armée du général Barclay de Tolly par le maréchal Ney,

Prise par le général russe Tchitchagow de la ville de Minsk, se trouvaient en magasin des subsistances pour cent mille hommes, pendant six mois. 18 novembre. Combat de Krasnoi. Beau mouvement rétrograde du maréchal Ney. Même jour. Reprise de Madrid par le maréchal Soult. L'armée anglo-portugaise de lord Wellington est poursuivie l'épée dans les reins jusqu'

Formation d'écoles spéciales de marine dans les ports de Brest et de Toulon. Même jour. Bataille de Busace en Portugal, entre l'armée anglo-portugaise et l'armée française aux ordres du prince d'Esling. Lord Wellington est forcé d'abandonner toutes ses positions. 30 septembre. Prise de Combre par l'armée française du Portugal. 10 octobre.

Bataille de Fuentes-de-Onoro, entre l'armée anglo-portugaise de lord Wellington, et celle du maréchal prince d'Esling. Le succès de cette journée reste indécis. 10 mai. Décret concernant le commerce de la France avec le Levant par les provinces illyriennes. 16 mai. Bataille d'Albuhera entre les troupes anglo-portugo-espagnoles, aux ordres du maréchal Béresford, et l'armée du duc de Dalmatie.

Lorsque nous rencontrâmes l'armée anglo-portugaise

J'ai dit que les corps du maréchal Ney et de Reynier se trouvaient l'avant-veille de la bataille au pied de la montagne d'Alcoba, en présence de l'ennemi. Ces deux généraux, attendant avec impatience le généralissime, se communiquaient par écrit leurs observations respectives sur la position de l'armée anglo-portugaise. Or, il existe une lettre datée du 26 septembre au matin, dans laquelle le maréchal Ney disait au général Reynier: «Si j'avais le commandement, j'attaquerais sans hésiter un instantIls exprimaient l'un et l'autre le même sentiment dans leur correspondance avec Masséna: «Cette position est loin d'être aussi formidable qu'elle le paraît, et si je n'eusse été aussi subordonné, je l'aurais enlevée sans attendre vos ordresLes généraux Reynier et Junot ayant assuré que rien n'était plus facile, Masséna, s'en rapportant

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