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Mis à jour: 2 juin 2025
Quant je veiz la bataille oultré De ceulx a qui subget je fuz J'ay toute crainte despitee Sy ay ma visiere baissee Com cil qui ne veult vivre plus Sans craindre qui me coure sus A chascun en donnay le chois Qu'a tous deux a une foys
Je ne crains Dangier, ne les siens, Car j'ay garny la forteresse Où mon cueur a retrait ses biens, De Reconfort et de Liesse; Et ay fait Loyaulté maistresse, Qui la place bien gardera; Dangier deffy, et sa rudesse, Car le Dieu d'amours m'aidera.
Qui fut lors bien esperdu Se fut moy je vous en assure Car sicomme tout fust fondu La ne veis corps de creature Mont ne maison ne couverture Chamberiere ne bastouer Sy ay escript a l'aventure Par maniere de me jouer
J'ay mis en escript mes souhais Ou plus parfont de mon penser; Et combien, quant je les ay fais, Que peu me pevent profiter; Je ne les vouldroye donner Pour nul or, qu'on me sceust offrir, En esperant, qu'au par aler, De mille l'un puist avenir.
Tant comme dureroit ma vie, Et, quant de mort seroye pris, De m'ame seriez servie, Priant pour vous en Paradis, S'il en estoit en son devis; Et mes biens, mon cueur et mon corps, Je les vous ay du tout soubzmis; Mais ca esté de leurs accors.
J'en ay fait tout ce qui fault faire Mais tout ce n'y a riens valu Car ces gens la pour me deffaire Ont mon bien et honneur tolu En faisant comme ilz ont voulu Tourner a leur poste le vent Encore quant m'en suis dolu L'on m'a fait pis que par devant Damp prieur
De Londres ce 1er de novembre 1569. Madame, ceste dépesche est pour vous faire toutjour entendre la continuation des choses, que par le Sr. de Vassal je vous ay naguières mandées, lesquelles sont en l'estat que Vostre Majesté verra en la lettre que j'escriptz au Roy,
On dit aussi du rat d'Inde qu'il fait mourir les plus grands cocodrilles, ce qui est merveilleux, car il n'est pas plus grand qu'un lapin & cependant l'emporte en dessus de ce grand furieux & tres-cruel animal. J'en ay veu un duquel un castor beaucoup plus grand n'ozoit approcher pour avoir esté une fois touché de sa dent.
Il est constant que je vous ay des obligations infinies, & constant aussi que vostre Merite est infiniment au dessus de tous les Eloges que luy pourroit donner une plume comme la mienne; l'une & l'autre de ces veritez connuës, vous doit faire croire aisément, que dans la liberté que je prends de vous adresser cette Epistre, je recherche bien moins la gloire de vous loüer, que je n'évite la honte d'estre blasmé d'ingratitude; quoy qu'
On tient qu'il y a des dains en quelque contrées, mais pour des Buffles, le P. Joseph m'a asseuré en avoir veu des peaux entières entre les mains d'un Sauvage de pays fort esloigné, je n'en ay point veu, mais je croy ce bon Pere.
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