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Mis à jour: 19 juin 2025


Or, rien ne fait plus de mal que d'entendre se plaindre ceux qui n'en ont pas l'habitude; car alors on a l'idée de la douleur dans toute son intensité, puisqu'elle est plus forte que l'homme fort. À Austerlitz, l'empereur avait dit: «Ordener est usé; on n'a qu'un temps pour la guerre; j'y serai bon encore six ans, après quoi moi-même je devrai m'arrêter

Après une ébauche d'alliance pendant le règne de Paul Ier, Napoléon et la Russie se retrouvent ennemis. Austerlitz. À la fin de 1806, la guerre devient une lutte corps

C'est ainsi que Napoléon l'appelle après Austerlitz, pour rédiger le traité de Presbourg, traité qui impose trop d'humiliation

Première campagne d'Autriche. Austerlitz. Cinquième cahier: Campagne de Prusse: Iéna. À Berlin. En Pologne. Eylau. Entrevue de Tilsitt. Je suis caporal. Guerre d'Espagne. À Madrid. Deuxième campagne d'Autriche. Je suis sergent. Essling et Wagram. Sixième cahier: Rentrée en France. Une bonne fortune. Fêtes du mariage impérial. On me nomme instructeur; chef d'ordinaire; vaguemestre.

C'est qu'il dut être fort embarrassé. Après le Génie du christianisme, que pouvait-il bien écrire qui en soutînt la réputation? Et cependant Napoléon grandissait toujours, devenait empereur... La concurrence était de plus en plus difficile avec un tel homme. Quel livre pouvait contrebalancer Austerlitz? Car, dès l'origine, Chateaubriand avait considéré Napoléon comme un rival. Notez que l'aventure prodigieuse et la gloire de l'empereur ont surexcité un nombre considérable de ses contemporains et des hommes de la génération suivante et, particulièrement, dans les lettres, Chateaubriand, Victor Hugo, Balzac et, je crois même, Stendhal. Ils brûlaient du désir d'être aussi grands que lui, sans prendre assez garde que la commune mesure est incertaine et fuyante entre l'œuvre d'un chef d'armée et d'

L'intervention du prince eut quelque effet. «Les visages ont pris un air plus riant, écrivait Savary, quelques portes se sont ouvertes. » Au bout d'un mois et demi de quarantaine, il fut reçu dans certaines maisons, s'y trouva avec des Russes haut placés, put les observer, et, le 23 septembre, une première note, après une sommaire et franche constatation des tendances hostiles de la société, transmettait une suite d'appréciations sur quelques personnages en vue . Savary s'est rencontré avec le prince Adam Czartoryski, de réputation européenne, chargé des affaires étrangères avant Austerlitz, «aujourd'hui sénateur et membre du Conseil; on ajoute dans le public: ami de l'empereur. Il a une conduite inexplicable, a l'air de ne se mêler de rien, et l'opinion le place presque partout. On ne sait ce qu'il veut; il voit peu de monde...» Et Savary ajoute, en marge, cette note qui surprend: «Je l'ai trouvé fort au-dessous de sa réputation. C'est un homme de l'opinion duquel on doit peu se soucierJadis, le prince formait avec MM. Kotchoubey, Strogonof et Novossiltsof le conseil intime de l'empereur, ce que l'on appelait le Comité de salut public; que sont devenus les autres membres de ce cénacle? Kotchoubey est ministre de l'intérieur, mais sa position est ébranlée; Novossiltsof reste

Quelle fut, selon lui, sa plus brillante victoire? Austerlitz? Il répond: «Peut-êtreMais il incline pour Borodino. C'était superbe! C'était une bataille si loin du sol national! «A Austerlitz, l'armée était la plus solide que j'aie jamais eue sous mes ordres.... Depuis ce temps-l

La vie de notre actif adversaire s'employait en conciliabules et en démarches; le matin, il travaillait c'était son expression avec les chefs de la faction anglaise; il passait la journée en compagnie des officiers aux chevaliers-gardes, pour la plupart viveurs, besoigneux, qui ne nous avaient point pardonné Austerlitz; le soir, il se montrait dans toutes les réunions mondaines, dîners, thés, bals, soupers, attisant la haine contre les Français et distribuant le mot d'ordre. Le retour de la saison d'hiver, en rouvrant

Il y a quarante ans, sans remonter au dernier siècle, on gagnait Austerlitz avec de la bravoure; tandis qu'aujourd'hui, hélas! la bravoure admirable, surhumaine, de quelques-uns, ne nous empêche pas d'être vaincus

«Aveunes, 14 Juin 1815. «Soldats! «C'est aujourd'hui l'anniversaire de Marengo et de Friedland, qui décidèrent deux fois du destin de l'Europe. Alors comme après Austerlitz, comme après Wagram, nous fûmes trop généreux, nous crûmes aux protestations et aux serments des princes que nous laissâmes sur le trône; aujourd'hui cependant, coalisés entre eux, ils en veulent

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