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Les dépêches que je portais au prince Murat contenaient la lettre par laquelle l'Empereur lui annonçait officiellement son élévation au trône de Naples, car il fut très sombre pendant quelques jours et tomba enfin si gravement malade que Napoléon, prévenu par le chef d'état-major Belliard, dut envoyer le général Savary pour prendre la direction des mouvements de l'armée, ce qui était au-dessus de ses talents militaires, surtout dans les circonstances difficiles qui allaient se présenter.

Le citoyen directeur me comble... Le cas que vos chefs font de vous me suffit, en attendant que vous m'ayez donné l'occasion de vous apprécier... Puissiez-vous réussir mieux et plus vite que nous dans la tâche dont je n'ignore point que vous ont spécialement chargé le Premier Consul et le général Savary: celle de découvrir les mystérieux auteurs des nombreux attentats qui, depuis si longtemps, épouvantent ce pays!

A la fin de la première partie de ces Mémoires, se trouve mon point de départ actuel; il est marqué par l'événement de ma disgrâce, qui fit passer dans les mains de Savary le porte-feuille de la haute police de l'

Les fusiliers de la garde, commandés par le général Savary, furent mis en mouvement pour soutenir la division St.-Hilaire, et firent des prodiges. La division Verdier, du corps d'infanterie de réserve du maréchal Lannes, s'engagea, la nuit étant déj

Vingt-quatre dames du palais, françaises, parmi lesquelles: mesdames de Rémusat, de Tallouet, de Lauriston, Ney, d'Arberg, Louise d'Arberg, depuis madame la comtesse de Lobau, de Walsh-Sérent, de Colbert, Lannes, Savary, de Turenne, Octave de Ségur, de Montalivet, de Marescot, de Bouille, Solar, Lascaris, de Brignolé, de Canisy, de Chevreuse, Victor de Mortemart, de Montmorency, Matignon et Maret;

On raconte qu'un Breton conjure, M. de Querelles, pris de frayeur a la vue de ces hesitations, demanda et obtint une audience du premier consul lui-meme et revela tous les details du plan. Napoleon Bonaparte rassembla, dit-on, dans son cabinet, sa police militaire, sa police politique et sa police urbaine: M. Savary, depuis duc de Rovigo; le grand juge Regnier et H. Dubois.

«Après cet entretien, on m'a présenté don Joseph Hervas, qui m'a confirmé dans l'opinion que l'empereur projetait de changer notre dynastie; car il m'a prié d'agir de manière que le voyage de France n'eût pas lieu. Ce jeune homme (qui a beaucoup d'esprit et de clairvoyance, promet beaucoup et est un excellent Espagnol) vient d'arriver de Paris avec le général Savary. Comme il est le beau-frère du général Duroc, grand-maréchal du palais de l'empereur, il connaît tous les complots de cette affaire; il me les a racontés, et se plaint du mauvais traitement qu'il avait éprouvé

[Note 237: Le général Savary écrivait

Le 17, de grand matin, un officier français, protégé par le drapeau parlementaire, et demandant une audience de l'Empereur lui-même, fut amené des avant-postes. Cet officier était Savary. L'empereur venait de s'endormir. Savary dut attendre;

II congédia ensuite Savary, en promettant un avertissement sévère aux coupables, et cette fois sa colère ne fut pas dépourvue de sanction: «Depuis un moment, écrit le général en marge de son rapport, M. de Kotchoubey a reçu l'ordre de remettre son portefeuille, M. Novossiltsof a reçu l'ordre de voyager, et M. Orlof est venu se mettre