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Mis à jour: 15 mai 2025


Les deux villages, bien que n'étant pas retranchés, étaient susceptibles d'une bonne défense, car ils sont bâtis en maçonnerie et entourés de petites levées de terre qui les protègent contre l'inondation du Danube; l'église et le cimetière d'Aspern pouvaient résister longtemps; Essling avait pour citadelle un vaste enclos et un immense grenier d'abondance construit en pierre de taille.

Le 21 au matin, les lignes autrichiennes parurent et vinrent se ranger en face des nôtres, en avant d'Essling et d'Aspern. Le maréchal Masséna, qui occupait ces deux villages depuis la veille, aurait en faire créneler les maisons et couvrir les approches par quelques travaux de campagne; mais il avait malheureusement négligé de prendre cette prudente précaution. L'Empereur l'en blâma; mais comme l'ennemi approchait, et qu'on n'avait plus le temps de réparer cette faute, Napoléon ne pouvant fortifier Essling ni Aspern, y suppléa, autant que possible, en couvrant ce dernier point par une tête qu'il traça lui-même et

Madrid, Lisbonne, Bellune, Essling, Wagram, Moscou, Dresde, Leipsick, Paris, l'île d'Elbe, Waterloo, Sainte-Hélène, victoires, conquêtes, retours, défaites, déroutes, double invasion de la France en une seule année, exil, proscription, coalition universelle contre nous, furent les résultats de la diplomatie de Napoléon.

[Note 50: Nicolas-Léonard Beker (1770-1840). Il avait épousé la soeur du général Desaix. Général de division, comte de l'Empire, grand officier de la Légion d'honneur après Essling, il devint cependant suspect

Le major, saisissant la pensée de Napoléon, s'écria: «Oui, nous sommes déshonorés si nous ne rapportons notre colonel!...» Et il s'élance au pas de course. Le régiment le suit au cri de: «Vive l'Empereurs'élance dans Essling, extermine quelques centaines d'Autrichiens, reste maître de la position et reprend le cadavre de son colonel, qu'une compagnie de grenadiers vient déposer aux pieds de l'Empereur. Vous comprenez parfaitement que Napoléon ne tenait nullement

Pendant que l'Empereur s'empressait de profiter des avantages que lui offrait la prise du bourg d'Enzersdorf, le prince Charles, toujours persuadé que son adversaire voulait déboucher entre Essling et Aspern, perdait son temps et ses munitions, pour jeter une grêle de boulets et d'obus sur la partie de l’île de Lobau située en face de ces deux villages, pensant qu'il faisait éprouver de grandes pertes aux troupes françaises, qu'il supposait être agglomérées en ce lieu. Ces projectiles ne produisirent aucun effet, car nous n'avions sur ce point que quelques éclaireurs dispersés et protégés par des épaulements en terre, tandis que le gros de nos troupes, massé du côté d'Enzersdorf, traversait le petit bras du Danube et se massait sur la rive gauche. Le généralissime autrichien fut stupéfait, le 5 juillet au matin, lorsqu'en se dirigeant sur l'ancien champ de bataille, entre Essling et Aspern, il comptait nous combattre avec avantage, au moment nous déboucherions de l'île de Lobau, il s'aperçut que son aile gauche était tournée par l'armée française qui marchait déj

La marche de l'armée française n'éprouvant aucune résistance sérieuse, nous occupâmes successivement Essling, Aspern, Breitenlée, Raschdorf et Süssenbrünn. Jusqu'

Première campagne d'Autriche. Austerlitz. Cinquième cahier: Campagne de Prusse: Iéna. À Berlin. En Pologne. Eylau. Entrevue de Tilsitt. Je suis caporal. Guerre d'Espagne. À Madrid. Deuxième campagne d'Autriche. Je suis sergent. Essling et Wagram. Sixième cahier: Rentrée en France. Une bonne fortune. Fêtes du mariage impérial. On me nomme instructeur; chef d'ordinaire; vaguemestre.

L'archiduc Charles, qui, par une attaque vigoureuse, aurait pu la veille percer notre faible ligne entre Essling et Aspern, renouvela ses efforts contre ces villages. Mais si nous avions résisté le 21

Les ennemis ne furent point entreprenans dans notre retraite, ils nous laissèrent toute l'après-midi entre Aspern et Essling, et ce ne fut que vers les quatre heures du soir que nous nous retirâmes dans le bois qui couvre l'extrême bord du fleuve, que nous repassâmes la nuit sans être inquiétés. On reploya le pont de bateaux qui était sur le bras du fleuve. On jeta sur des haquets les pontons dont il était formé, ainsi que les ancres, poutrelles, cordages, madriers, et on les envoya au pont du grand bras, ils servirent

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