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Mis à jour: 19 juin 2025


Soldats, C'est aujourd'hui l'anniversaire de Marengo et de Friedland, qui décidèrent deux fois du destin de l'Europe. Alors, comme après Austerlitz, comme après Wagram, nous fûmes trop généreux; nous crûmes aux protestations et aux sermens des princes que nous laissâmes sur le trône. Aujourd'hui cependant, coalisés entre eux, ils en veulent

Toute l'armée russe est en déroute, quatre-vingts pièces de canon, trente mille hommes pris ou tués; vingt-cinq généraux russes tués, blessés ou pris; la garde russe écrasée: c'est une digne soeur de Marengo, Austerlitz, Iéna. Le bulletin te dira le reste. Ma perte n'est pas considérable; j'ai manoeuvré l'ennemi avec succès. Sois sans inquiétude et contente. Adieu, mon amie; je monte

Et, pour garder Forbach, on supprime Iéna! Mac-Mahon fait de loin pleuvoir une rafale De feu, de fer, de plomb, sur l'arche triomphale. Honte! un drapeau tudesque étend sur nous ses plis, Et regarde Sedan souffleter Austerlitz! sont les Charentons, France? sont les Bicêtres?

En quittant le bac, il regarda encore une fois le ciel, que lui avait montré Pierre, et, pour la première fois depuis Austerlitz, il retrouva son ciel profond, idéal, celui qui planait au-dessus de sa tête sur le champ de bataille. Un sentiment depuis longtemps endormi, le meilleur de lui-même, se réveilla au fond de son âme: c'était le renouveau de la jeunesse et de l'aspiration au bonheur. Rentré dans les conditions de sa vie habituelle, ce sentiment s'effaça et s'affaiblit peu

Pourquoi ne servez-vous plus? Comment, après Austerlitz? dit le prince André d'un air sombre. Non, je me suis juré de ne plus servir dans l'armée active, et je tiendrai parole, quand même Bonaparte serait l

Pendant que je préparais le Traité de Presbourg, la Part du Lion, et que je remaniais la carte d'Europe, après Austerlitz, tous les roitelets de l'Almanach de Gotha cherchaient

Toute grande ère a deux faces; tout siècle est un binôme, a + b, l'homme d'action plus l'homme de pensée, qui se multiplient l'un par l'autre et expriment la valeur de leur temps. L'homme d'action, plus l'homme de pensée; l'homme de la civilisation, plus l'homme de l'art; Luther, plus Shakespeare; Richelieu, plus Corneille; Cromwell, plus Milton; Napoléon, plus l'inconnu. Laissez donc se dégager l'Inconnu! Jusqu'ici vous n'avez qu'un profil de ce siècle, Napoléon; laissez se dessiner l'autre. Après l'empereur, le poëte. La physionomie de cette époque ne sera fixée que lorsque la révolution française, qui s'est faite homme dans la société sous la forme de Bonaparte, se sera faite homme dans l'art. Et cela sera. Notre siècle tout entier s'encadrera et se mettra de lui-même en perspective entre ces deux grandes vies parallèles, l'une du soldat, l'autre de l'écrivain, l'une toute d'action, l'autre toute de pensée, qui s'expliqueront et se commenteront sans cesse l'une par l'autre. Marengo, les Pyramides, Austerlitz, la Moskowa, Montereau, Waterloo, quelles épopées! Napoléon a ses poëmes; le poëte aura ses batailles. Laissons-le donc venir, le poëte! et répétons ce cri sans nous lasser! Laissons-le sortir des rangs de cette jeunesse, son front plonge encore dans l'ombre, ce prédestiné qui doit, en se combinant un jour avec Napoléon selon la mystérieuse algèbre de la providence, donner complète

Nous, s'il est Austerlitz ou Magenta, nous l'entendrons sonner dans nos coeurs avec des éclats de clairons. Et, s'il est Waterloo, il roulera lugubrement dans nos mémoires, comme le son d'un tambour voilé d'un crêpe, menant les funérailles de la nation.

Maurice approuva la création d'un comité de salut public. Des pages d'histoire lui revenaient, l'heure n'avait-elle pas sonné des mesures énergiques, si l'on voulait sauver la patrie? De toutes les violences, une seule lui avait serré le coeur d'une angoisse secrète, le renversement de la colonne Vendôme; et il s'accusait de cela comme d'une faiblesse d'enfant, il entendait toujours son grand-père lui raconter Marengo, Austerlitz, Iéna, Eylau, Friedland, Wagram, la Moskowa, des récits épiques dont il frémissait encore. Mais que l'on rasât la maison de Thiers l'assassin, que l'on gardât les otages comme une garantie et une menace, est-ce que cela n'était pas de justes représailles, dans cette rage grandissante de Versailles contre Paris, qu'il bombardait, les obus crevaient les toits, tuaient des femmes? Le sombre besoin de destruction montait en lui,

Le capitaine Lyrisse, d'un cri violent: A Austerlitz! Des voix éclatèrent, tel un feu de file: A Iéna!... A Eylau!... A Saragosse!... A Moscou!... C'étaient les messieurs aux redingotes militaires et aux chapeaux sur l'oreille. A ces grands souvenirs, les ouvriers s'exaltèrent et brandirent leurs armes. Ils se promirent intrépides.

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guèbres

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