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Mis à jour: 10 juin 2025
MIRANDA. Mon doux seigneur, vous me trichez. FERDINAND. Non, mon très-cher amour; je ne le voudrais pas pour le monde entier. MIRANDA. Oui, et quand même vous voudriez disputer pour une vingtaine de royaumes, je dirais que c'est de franc jeu. ALONZO. Si c'est l
Parmi les jeunes gens de grande distinction qui montrèrent le plus de désir de s'associer au voyage de Colomb, on voyait Don Alonzo de Ojeda, qui mérite une mention particulière; parce que son nom a marqué dans la carrière hasardeuse où il allait faire les premiers pas.
Un bruit s'est fait entendre, c'est la vérité: il sera bon de nous tenir sur nos gardes; ou plutôt quittons ce lieu; tirons nos épées. ALONZO. Partons d'ici, et continuons
De la salle des Ambassadeurs, l'on va, par un corridor de construction relativement moderne, au tocador, ou toilette de la reine. C'est un petit pavillon situé sur le haut d'une tour d'où l'on jouit du plus admirable panorama, et qui servait d'oratoire aux sultanes. À l'entrée, l'on remarque une dalle de marbre blanc percée de petits trous pour laisser passer la fumée des parfums que l'on brûlait sous le plancher. Sur les murs, l'on voit encore des fresques fantasques exécutées par Bartolomé de Ragis, Alonzo Ferez et Juan de La Fuente. Sur la frise s'entrelacent, avec des groupes d'amours, les chiffres d'Isabelle et de Philippe V. Il est difficile de rêver quelque chose de plus coquet et de plus charmant que ce cabinet aux petites colonnes moresques, aux arceaux surbaissés, suspendu sur un abîme azuré, dont le fond est papelonné par les toits de Grenade, où la brise apporte les parfums du Généralife, énorme touffe de lauriers-roses épanouie au front de la colline prochaine, et le miaulement plaintif des paons qui se promènent sur les murs démantelés. Que d'heures j'ai passées l
ALONZO. Si tu es en effet Prospero, raconte-nous quels événements ont sauvé tes jours. Dis-nous comment tu nous rencontres ici, nous qui depuis trois heures
Les peintures du comte d'Arundel ne furent pas mieux respectées que ses marbres; elles furent vendues en partie, et don Alonzo de Cardenas, ambassadeur d'Espagne près de Cromwell, obtint quelques tableaux, qu'il s'empressa d'envoyer
FIGARO, de loin, pour avertir. Hem!... hem!... Désolé de voir encore mon déguisement inutile... BARTOLO, passant entre eux deux. Votre déguisement inutile! ROSINE, effrayée. Ah!... Fort bien, Madame, ne vous gênez pas. Comment! sous mes yeux même, en ma présence, on m'ose outrager de la sorte! Qu'avez-vous donc, Seigneur? Perfide Alonzo !
ANTONIO. Oh! c'était un bruit capable d'effrayer l'oreille d'un monstre, de faire trembler la terre: sûrement c'étaient les rugissements d'un troupeau de lions. ALONZO. L'avez-vous entendu, Gonzalo? GONZALO. Sur mon honneur, seigneur, j'ai ouï un murmure, un étrange murmure qui m'a réveillé. Je vous ai poussé, seigneur, et j'ai crié. Quand mes yeux se sont ouverts, j'ai vu leurs épées nues.
Chateaubriand dit qu'Atala «sort de toutes les routes connues». Il faut s'entendre. L'histoire d'Atala n'est peut-être pas, en soi, une merveille d'invention. Dans les ennuyeux Incas de Marmontel, aux chapitres XXVII et XXVIII, l'Espagnol Alonzo s'éprend de Cora, l'une des vierges sacrées qui vivent dans le temple du soleil. Et Cora aime aussi Alonzo. Alonzo enlève Cora
Oui, Alonzo; pardon, je ne l'oublierai plus. Var. FIGARO,
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