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Mis à jour: 12 juin 2025


Du belvéder du Généralife, l'on aperçoit nettement la configuration de l'Alhambra avec son enceinte de tours rougeâtres

Le véritable charme du Généralife, ce sont ses jardins et ses eaux. Un canal, revêtu de marbre, occupe toute la longueur de l'enclos, et roule ses flots abondants et rapides sous une suite d'arcades de feuillages formées par des ifs contournés et taillés bizarrement.

De la salle des Ambassadeurs, l'on va, par un corridor de construction relativement moderne, au tocador, ou toilette de la reine. C'est un petit pavillon situé sur le haut d'une tour d'où l'on jouit du plus admirable panorama, et qui servait d'oratoire aux sultanes. À l'entrée, l'on remarque une dalle de marbre blanc percée de petits trous pour laisser passer la fumée des parfums que l'on brûlait sous le plancher. Sur les murs, l'on voit encore des fresques fantasques exécutées par Bartolomé de Ragis, Alonzo Ferez et Juan de La Fuente. Sur la frise s'entrelacent, avec des groupes d'amours, les chiffres d'Isabelle et de Philippe V. Il est difficile de rêver quelque chose de plus coquet et de plus charmant que ce cabinet aux petites colonnes moresques, aux arceaux surbaissés, suspendu sur un abîme azuré, dont le fond est papelonné par les toits de Grenade, la brise apporte les parfums du Généralife, énorme touffe de lauriers-roses épanouie au front de la colline prochaine, et le miaulement plaintif des paons qui se promènent sur les murs démantelés. Que d'heures j'ai passées l

Le Généralife est situé

Maintenant que nous avons fini avec l'Alhambra et le Généralife, traversons le ravin du Darro et allons visiter, le long du chemin qui mène au Monte-Sagrado, les tanières des gitanos, assez nombreux

Au frais Généralife écloses, Sous le jet d'eau toujours en pleurs, Du temps de Boabdil, deux roses Ensemble ont fait jaser leurs fleurs; Sur les coupoles de Venise Deux ramiers blancs aux pieds rosés, Au nid l'amour s'éternise, Un soir de mai se sont posés. Marbre, perle, rose, colombe, Tout se dissout, tout se détruit; La perle fond, le marbre tombe, La fleur se fane et l'oiseau fuit.

C'est dans le Dernier des Abencerages que j'ai décrit l'Alhambra. L'Alhambra, le Généralife, le Monte-Santo se sont gravés dans ma tête comme ces paysages fantastiques que, souvent

Au bout d'un quart d'heure de marche, on arrive au Généralife, qui n'est en quelque sorte que la casa de campo, le pavillon champêtre de l'Alhambra. L'extérieur, comme celui de toutes les constructions orientales, en est fort simple: de grandes murailles sans fenêtres et surmontées d'une terrasse avec une galerie en arcades, le tout coiffé d'un petit belvéder moderne. Il ne reste du Généralife que des arcades et de grands panneaux d'arabesques malheureusement empâtés par des couches de lait de chaux renouvelées avec une obstination de propreté désespérante. Petit

La ville se trouve ainsi divisée en quatre grands quartiers: l'Antequerula, qui occupe les croupes de la colline, ou plutôt de la montagne couronnée par l'Alhambra; l'Alhambra et son appendice le Généralife; l'Albaycin, autrefois vaste forteresse, aujourd'hui quartier en ruine et dépeuplé, et Grenade proprement dite, qui s'étend dans la plaine autour de la cathédrale et de la place de la Vivarambla, et qui forme un quartier séparé.

Et, en effet, ils vivent quelque temps ensemble. Et, dans une fête que donne Lautrec au Généralife, Lautrec chante la jolie romance: Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance! Ma sœur, qu'ils étaient beaux, les jours De France!

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detto

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