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Chacun d'eux fit une prière mentale; quand nous disons chacun d'eux, nous répondons d'Isabelle de Lautrec. Sans doute les paroles échappées du coeur se formulèrent sur les lèvres en élancements sacrés vers la mère du seigneur; mais l'homme ne sait prier que dans le malheur; pour la félicité il n'a que des balbutiements de désir et des soupirs de flamme.

Cette peinture, la photographie l'a vulgarisée. Elle est importante, mais sèche, trop fortement dessinée. Le dessinateur aigu que sera Lautrec pendant toute sa courte vie, l'emporte ici sur le peintre. Et, grâce

Ah! toutes ces rares lithographies! L'oeuvre la plus décisive, la plus savoureuse de Lautrec; celle qui l'emporte sur l'oeuvre du peintre, qu'on le veuille ou non; l'oeuvre qui lui accordait toute sa liberté; l'oeuvre il pouvait débrider toute sa fantaisie, son goût extrême de la diversité et de la sensibilité la plus excessive et la plus divinatrice!

Non pas, non pas, monseigneur, inutile de chercher plus loin: le conducteur, le défenseur de Mlle de Lautrec, celui qui se fera tuer pour elle, il est trouvé, le voil

C'est plus simple et tellement plus simple. Le comte Alphonse de Toulouse-Lautrec avait un ami, artiste-peintre, dont l'atelier s'ouvrait dans une sorte d'impasse, au 233, du faubourg Saint-Honoré! Ce peintre, comme par un décret de la Providence, c'était René Princeteau, peintre de chasses, de chevaux et de chiens! Or, dès l'âge de huit ans, Lautrec ayant commencé de venir dans l'atelier de Princeteau, retrouvait ainsi tous les sujets de tableaux qui lui étaient si familiers. De l

Et, en effet, ils vivent quelque temps ensemble. Et, dans une fête que donne Lautrec au Généralife, Lautrec chante la jolie romance: Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance! Ma sœur, qu'ils étaient beaux, les jours De France!

Il mourut, religieusement, le 9 septembre 1901, en pleine connaissance, entouré de sa mère, de son père, de son cousin germain M. Louis Pascal, de la mère de celui-ci, de son autre cousin germain M. Gabriel Tapié de Celeyran et de son inséparable ami Viaud. Avant la mort de Lautrec, son père n'était venu qu'une seule fois

De toute la journée Mlle de Lautrec n'avait point paru au Louvre, la reine l'avait inutilement fait chercher dans sa chambre et partout dans le palais, personne ne l'avait vue et n'avait pu en donner des nouvelles.

Ah! ah! fit le duc, la fille du baron François de Lautrec, qui est près du duc de Rethellois,

Seulement le baron de Lautrec ne laissa point ignorer au comte que s'il était tué, ou contractait d'autres engagements, il reprenait son autorité paternelle sur sa fille, autorité dont il ne se départait que devant la protection que le cardinal voulait accorder au jeune comte, et qu'alors il n'admettrait de la part d'Isabelle aucune résistance.