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Variétés historiques et littéraires, I, 14. Larchey, Dictionnaire d'argot. Mistral, Tresor dou felibrige. Causes amusantes et peu connues, I, 70, 85. Leroux, Dictionnaire comique. Les Français, II, 265, 267, 268. Paul Sébillot, Coutumes de la Haute-Bretagne, 74. J.-F. Bladé, Proverbes de la Gascogne. Ancien Théâtre français, II, 115. E. Rolland. Rimes et jeux de l'Enfance, 320. Leite de Vasconcellos, Tradiçoes de Portugal, 251, Revue des traditions populaires, IX, 685; N, 157, 202. Paris ridicule, 310. Dragomanov, Traditions populaires de la petite Russie, 280. Jitté i slovo, V, 232. Communications de M. T. Volkov. Ampère, Instructions pour les poésies populaires. E. Monseur, La Folk-Lore wallon, 7, 74. Communications de MM. H. Macadam, Alfred Harou. Lespy, Proverbes de Béarn. G. Pitrè, Costumi siciliani, 14, 21. Henderson, Folk-Lore of Northern Counties, 82. Calendario popular (Fregenal), 1885, 16. Paul Lacroix et Alfred Duchesne, Histoire des Cordonniers, 117, 125, 162, 207. Ant. Caillot, Vie publique des Français, II, 213. Sensfelder, Histoire de la Cordonnerie, 21. 271. Hécart, Dictionnaire rouchi. Magasin pittoresque, 1850, 141. L. Morin, Les Communautés des cordonniers, basaniers et savetiers de Troyes , 36, 62. G.-S. Simon,

«Votre très affectueuse, [271: Voir les intéressants détails donnés par le capitaine Foresti

{p.271} Le génie de Lucile et son caractère étaient arrivés presque

Leurs propositions financières aux cinq-cents. 165 et suiv. Motion d'ordre de l'un d'eux sur les événemens de Venise. 176 et suiv. Leurs craintes après la nomination des ministres et la marche de Hoche. 213 et suiv. Autres plans d'opposition. Leurs craintes sur les préparatifs du directoire. 266 et suiv. Résolutions désespérées qu'ils proposent. 271 et suiv.

[Note 145: D'abord on chante (Rec. de Maurepas, t. 4, p. 271): Fouilloux, sans songer

[Note 271: Est-ce

[Note 445: T. Ier, p. 271, LXXXII, au bas del

Saint Antoine se retira au désert vers l'an 271, sous le règne d'Aurélien,

Voyez Millot, t. II, p. 271 et 272. Cette folie n'était que ridicule. Après son retour en Europe, il en eut une plus dangereuse pour lui: amoureux d'une dame de Carcassonne, nommée Louve de Penautier, il se faisait appeler Loup en son honneur.

Une première demande d'armistice fut faite; Blucher y répondit <p.271> ainsi: «Nous voulons entrer dans Paris pour protéger les honnêtes gens contre le pillage dont ils sont menacés par la canaille. Un armistice satisfaisant ne peut être conclu que dans ParisWellington se montra moins arrogant; et alors fut signée la triste convention du 3 juillet 1815, dont les principaux articles étaient: 2.