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Mis à jour: 26 juin 2025
Louis XV pubère dans le courant du mois de février 1721. Amour de la chasse et sauvagerie du jeune Roi. Son éloignement de la femme. Le duc de Bourbon forme le projet de marier Louis XV.
Les Lettres persanes sont de 1721; les Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence sont de 1734; l'Esprit des lois de 1748. Caro, la Fin du XVIIIe siècle, vol.
Gabrielle de Noailles, fille du maréchal duc de Noailles, née en 1706, épousa en 1721, Armand, duc de Villars, fils du maréchal de Villars. Nommée dame du palais de la reine, puis dame d'atours, elle mourut en 1771. Charles, comte de Saulx-Tavannes, né en 1713, était lieutenant général et chevalier d'honneur de la reine .
Voici maintenant la version de Voltaire, rejetée par Sainte-Beuve et beaucoup d'autres: «Montesquieu fit faire en peu de jours une nouvelle édition de son livre, dans lequel on retrancha ou on adoucit tout ce qui pouvoit être condamné par un cardinal ou par un ministre.» C'est justement ce que fit Voltaire lui-même en 1732 pour obtenir de Fleury l'autorisation de publier les Lettres anglaises. L'anecdote n'est donc pas invraisemblable. D'autre part, il existe une édition des Lettres persanes, modifiée uniquement dans le premier volume et pourvue d'un sous-titre caractéristique: LETTRES PERSANES, seconde édition, revue, corrigée, diminuée et augmentée par l'auteur. A Cologne, chez Pierre Marteau, 1721. Notez que le même Marteau avait également donné en 1721 un texte conforme
L'abbé François Arnaud, né en 1721,
Louis XV pubère dans le courant du mois de février 1721. Amour de la chasse et sauvagerie du jeune Roi. Son éloignement de la femme. Le duc de Bourbon forme le projet de marier Louis XV.
Une occasion se présenta, Montesquieu la saisit. «L'ambassadeur turc arrivait (mars 1721), avec tout son monde équivoque. La question débattue partout était: «A-t-il, n'a-t-il pas un sérail? Et qu'est-ce donc que la vie du sérail? Vous le voulez... Eh! bien, apprenez-le. Le nouveau livre vous le dira. Dès le commencement, cinq ou six lettres vous saisissent par cette curiosité d'être confident du mystère, au fond du sérail même, et ce qui est piquant, d'un sérail veuf, et des humbles aveux que ces belles délaissées écrivent en grand secret. Avec un tel prologue, on ne lâchera pas le livre. Mais nulle mollesse orientale. Il ne s'en doute même pas. A cent lieues du sérail mystique des soufis, du sérail voluptueux du Ramayan, celui-ci est français, je veux dire amusant et sec. La flamme même, s'il y en a quelque peu, est sèche encore, esprit, dispute et jalousie. Ces disputes ne troublent guère les sens. Le tout est une vraie satire contre l'injustice polygamique, le dur veuvage où elle tient la femme; même la polygamie chrétienne (quoiqu'on en plaisante parfois comme d'une chose qui est dans les moeurs), il la flétrit très-âprement dans la lettre sur l'homme
Quand, en 1721, pour les besoins de l'organisation religieuse, les habitations répandues sur les deux rives du Saint-Laurent, entre Montréal et Québec, furent réparties en paroisses par le gouverneur, marquis de Vaudreuil, et l'intendant Bégon, l'administration de ces paroisses fut confiée non aux paroissiens, mais au conseil supérieur de la colonie.
C'est une figure vénérable et touchante que celle du Dr Blacklock et qui vaut un crayon d'un instant. Né en 1721, il avait perdu la vue
Les bouquinistes au XVIIIe siècle reconquirent le parapet pour la joie des curieux. M. Uzanne nous apprend qu'ils furent inquiétés de nouveau en 1721. A cette date, une ordonnance du roi défendit les étalages des livres
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