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Mis à jour: 10 juin 2025
Une classe curieuse que les tout derniers éditeurs de l'heure actuelle, des éditeurs qui sont des commerçants, ayant fait leur fortune dans des industries ou des négoces inférieurs, et qui, sans aucune connaissance de la partie, croient se relever de leur passé, et anoblir leur avenir par le débit de productions de l'intelligence.
Cette lettre n'est point celle que les éditeurs de l'Isographie ont découverte dans les manuscrits de Béthune de la Bibliothèque du roi, puisque Louis XIII n'a signé que dauphin et non Loys; mais elle nous a paru tellement curieuse que nous la donnons ici avec l'orthographe du jeune prince. Elle est sans date, mais il devoit être très-enfant, lorsqu'il l'écrivit: «PAPA,
Les journaux royalistes anglais faisaient sonner très haut l'hospitalité anglaise, mélangée, on s'en souvient, d'assauts nocturnes et d'expulsions, du reste comme l'hospitalité belge. Ce que l'hospitalité anglaise avait de complet, c'était sa tendresse pour les livres des exilés. Elle réimprimait ces livres et les publiait et les vendait avec l'empressement le plus cordial au bénéfice des éditeurs anglais. L'hospitalité pour le livre allait jusqu'
Je dirai plus généralement que l'influence d'André Chénier n'est sensible chez aucun des poètes de ce siècle, et c'est par pure fantaisie que les éditeurs de la nouvelle Anthologie ont placé l'Aveugle et la Jeune Captive en tête du recueil, comme un portique Louis XVI
Bonsoir, mon vieux enfant. Je vous écrirai dès que j'aurai une réponse des éditeurs. A vous de coeur. Quand vous verra-t-on? Nohant, novembre 1860. Chère cousine,
Jean Sbogar parut sous le couvert de l'anonymat au mois de mai 1818, quatre ans et demi après que Nodier fût revenu de Laybach . Il eut d'abord ce que l'on appelle aujourd'hui une mauvaise presse, malgré l'artifice qu'avait imaginé son auteur pour exciter l'intérêt du public. Sur ce point, encore mal éclairé, nous relevons dans le Journal de Paris du 20 juin 1818, cette curieuse note: Les éditeurs de cet ouvrage nous apprennent, dans une espèce d'avertissement mystérieux, que l'auteur leur avait envoyé son manuscrit au moment où il se disposait
Maurice vient aussi d'avoir son petit succès avec un gros bouquin de costumes et de recherches que les éditeurs ne suffisent pas
Cependant le malheureux écrivait pour les journaux, compilait et traduisait pour les libraires, faisait de brillants articles et des contes pour les revues. Les éditeurs les inséraient volontiers, mais ils payaient si mal le pauvre jeune homme qu'il tomba dans une misère affreuse. Il descendit même si bas, qu'il put entendre crier les gonds des portes de la mort. Un jour, un journal de Baltimore proposa deux prix pour le meilleur poëme et le meilleur conte en prose. Un comité de littérateurs, dont faisait partie M. John Kennedy, fut chargé de juger les productions. Toutefois, ils ne s'occupaient guère de les lire; la sanction de leurs noms était tout ce que leur demandait l'éditeur. Tout en causant de choses et d'autres, l'un d'eux fut attiré par un manuscrit qui se distinguait par la beauté, la propreté et la netteté de ses caractères. À la fin de sa vie, Edgar Poe possédait encore une écriture incomparablement belle. (Je trouve cette remarque bien américaine.) M. Kennedy lut une page seul, et ayant été frappé par le style, il lut la composition
Aussi, quand j'entends des hommes que je sais compétents, des hommes que j'honore et que j'estime, quand je les entends dire: On ne trouvera pas d'éditeurs, en présence de la concurrence et de la liberté illimitée de publication, pour acheter et éditer un livre, je m'étonne. Je n'ai proposé rien de nouveau; tous les jours, on a vu, on voit, du vivant de l'auteur et de son consentement, plusieurs éditeurs, sans se nuire entre eux, et même en se servant entre eux, publier le même livre. Et ces concurrences profitent
[Note 169: Ouvr. inéd. Petri Abaelardi Sic et Non, p. 3-163. Le titre de cet ouvrage, mentionné dans la lettre de Guillaume de Saint-Thierry, était tout ce qu'on en connaissait. Les bénédictins, éditeurs du Thésaurus anecdotorum et du Spicilegium, disaient seulement qu'ils avaient cet écrit
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