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Puisque vous repoussez ma demande, je ne retournerai jamais dans mon pays. De plus, et c'est mon dernier mot, écoutez-le bien: Je me moque de votre Dieu, je déteste l'armée et, encore une fois, je maudis la France... Sortez, canaille! s'écria Paul Aubry en saisissant Bonin par le bras.

catholique, il resta catholique dans la même mesure que Jean-Jacques était resté calviniste. Ecoutez-le: «J'ai été, dès le collège, un assez mauvais catholique», dit-il aux Jacobins le 21 novembre 1793, dans un discours anti-hébertiste. Il se garde bien de dire: je ne suis pas catholique. Mais il ne faut pas se le représenter pratiquant. La vérité c'est que, dans son adolescence, il fut touché de l'esprit du siècle et s'éloigna des formules catholiques avec une gravité philosophique. L'abbé Proyart, sous-principal du collège Louis-le-Grand, a raconté, dans une page peu connue et qu'il faut citer, comment Robespierre,

Voyez le petit homme, le poète surtout avec combien d'ardeur ses paroles accusent-elles la vie! Ecoutez-le, mais n'oubliez pas d'entendre le plaisir qu'il y a dans toute accusation! Ces accusateurs de la vie: la vie, d'une oeillade, en a raison. "Tu m'aimes? dit-elle, l'effrontée; attends un peu, je n'ai pas encore le temps pour toi."

Lords, écoutez-le, et demeurez attentifs et en silence; car quiconque l'interrompra, c'est fait de sa vie. LE ROI. Espères-tu que j'abandonnerai ainsi mon trône royal, se sont assis mon aïeul et mon père? Non, auparavant la guerre dépeuplera ce royaume.

Et ce n'est pas que je voie en vous un fantôme comme celui que j'ai porté en moi si longtemps. Je sais fort bien que vous êtes une femme, que vous avez aimé, que vous pouvez aimer encore... tout autre que moi? Eh bien! soit! j'accepte tout cela, et je n'ai pas besoin de comprendre les mystères de votre coeur et de votre vie pour vous adorer. Soyez tout ce que vous voudrez, abandonnez vos enfants, reniez Dieu, chassez-moi, aimez l'homme qui vous en semblera digne... Si Salvator vous plaît, s'il peut vous donner un instant de bonheur, écoutez-le, rendez-le heureux; j'en mourrai certainement, mais sans qu'une pensée de blâme puisse entrer dans mon esprit, sans qu'un sentiment de vengeance puisse approcher de mon coeur. Je mourrai en vous bénissant, en proclamant que vous avez le droit de faire tout ce qui est défendu aux autres, que ce qui est crime et reproche chez eux, est vertu et gloire chez vous. Tenez, je suis tellement malheureux en ce monde, et l'amour que je vous porte me ronge tellement les entrailles, que j'ai, en ce moment, un désir, un besoin effréné de mourir. Mais si vous voulez que je m'en aille demain, que je ne vous revoie jamais et que je vive, je vivrai et je serai content de vivre dans les tourments pour vous obéir. Vous croyez que j'ai aimé quelqu'un plus que vous? c'est faux! je n'ai jamais aimé personne. Je le sens maintenant, j'avais rêvé l'amour; car, comme vous l'a dit Salvator, il était dans mon cerveau, je ne l'avais pas senti dévorer mon coeur. C'était une femme pure, et je respecte tellement son souvenir, que je ne veux plus lui faire un mensonge en portant son image sur ma poitrine. Prenez-le, cachez-le, gardez-le, ce portrait que je ne comprends plus, et je vois toujours vos traits maintenant

J'en suis digne,... je vous l'atteste, je vous l'atteste devant ce ciel qui nous voit! Chère madame,... chère enfant,... votre bonté,... votre tendresse,... me troublent jusqu'au fond de l'âme!... De grâce, un peu de calme,... laissez-moi une lueur de raison! Ah! si votre coeur vous parle, écoutez-le, monsieur!

Mais un souffle courut dans la foule, et l'abbé Judaine dit encore: Voici le père Massias qui monte en chaire. C'est un saint, écoutez-le. On le connaissait, il ne pouvait paraître, sans que toutes les âmes fussent agitées d'une soudaine espérance, car on racontait que sa grande ferveur aidait aux miracles. Il passait pour avoir une voix de tendresse et de force, aimée de la Vierge.