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Chaque printemps, tu viens de tes jeunes amours Chanter jeune interprète; Chaque printemps, plus vieux et plus triste toujours, Je t'écoute et m'arrête. Tu répands en mon âme un confus souvenir D'harmonie et d'enfance, Comme la fleur d'automne abandonne au zéphir Un doux reste d'essence.

À ces mots j'ouvris la paupière; Adieu sagesse, adieu projets; Revenez, enfans de Cythère, Je suis plus foible que jamais. Vous m'amusez par des caresses, Vous promettez incessamment, Et le Zéphir, en se jouant, Emporte vos vaines promesses. Demain, dites-vous tous les jours; Je suis chez vous avant l'aurore; Mais volant

Doux est le murmure du ruisseau, traversant la prairie. Plus doux est ton nom, ô Marie! Douce est la plainte de la vague harmonieuse, bercée par le zéphir. Plus doux est ton nom, ô Marie! Doux est l'accord de la lyre éolienne,

Zéphir, c'était son cheval. Lui, refusa de manger, accepta un café seulement. Il attendait son officier, qui attendait l'empereur. Ca pouvait durer cinq minutes, ça pouvait durer deux heures. Alors, son officier lui avait dit de mettre les chevaux

Une chose bien facile, si votre cheval n'est pas fatigué toutefois. Je vous dis qu'il ira comme un zéphir; le tout est de dire de quel côté il faut qu'il aille. Du côté de Louvres. Ah! ah! connu: pays du ratafia?

Dans l'enfance et dans l'âge mûr, Même jusque dans la vieillesse, Si le coeur goûte un plaisir pur, Il est l'effet d'une caresse. Les frères caressent leurs soeurs, La fille caresse sa mère, Le zéphir caresse les fleurs, Dorilas caresse Glicère. Voyez les ramiers dans les bois S'aimer, se caresser sans cesse: Par-tout l'amour dicte ses lois; Dans l'univers tout se caresse.

Le vent l'emporta sur un tas de fumier. O vent! murmura Coquerico qui respirait encore, zéphir bienfaisant, souffle protecteur, me voici revenu de mes vaines folies; laisse-moi reposer sur le fumier paternel. Te reposer! rugit le vent. Attends, je vais t'apprendre comme je traite les ingrats.

Ces bois, en vous voyant, sont parés de feuillages, Et ces prés font briller leurs charmantes couleurs. Le zéphir sous vos pas fait éclore les fleurs; Les oiseaux amoureux redoublent leurs ramages; Dans ce charmant séjour Tout rit, tout reconnaît la fille de l'amour. L'on était au comble de la joie.

Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu'il soit dans le zéphir qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés.

Un petit homme de quatre pieds sept pouces au plus, interrompt la conversation en entrant dans la chambre avec la légèreté d'un zéphir, se trouvant, par deux pas de basque, devant le lit de madame Durand. A cette entrée aérienne on a déj