Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 1 juillet 2025


Ce n'est pas qu'il en ait laissé, comme Wordsworth l'a fait pour son gracieux district des lacs, une suite de tableaux si nombreux, si minutieux, si particuliers, qu'on peut suivre ses promenades, rattacher chaque description au site qui l'a inspirée, reconnaître jusqu'

C'est pour avoir négligé de suivre ce conseil que bien des grands esprits et bien des grands savants sont tombés, sur leurs vieux jours, dans l'imbécillité, dans l'enfance et jusque dans la folie. Si, par exemple, de célèbres poètes anglais de notre siècle, tels que Walter Scott, Wordsworth, Southey et plusieurs autres, arrivés

dit Wordsworth. Et Ruskin écrit qu'il ne connaît qu'une seule cité de plus noble situation qu'

Quand on passe au reste du volume, on trouve des Essais sur Wordsworth, sur Coleridge, sur Charles Lamb, sur Sir Thomas Browne, sur quelques-unes des pièces de Shakespeare, et sur les rois qu'a créés Shakespeare, sur Dante Rossetti et sur William Morris.

Il est assurément curieux de suivre, dans cet homme soustrait aux influences politiques et perdu au fond du nord, les phases de la Révolution. Il a vibré, avec des tons différents, aux mêmes souffles que les autres poètes anglais de son temps. À une certaine hauteur, toutes les âmes étaient touchées par le vent qui venait de France. Il est cependant juste de remarquer combien Burns est loin de Wordsworth comme poète politique, et combien il était moins au courant de son époque. De la Révolution française, il n'a compris que la manifestation passionnelle et populaire; il n'a saisi que ce qui s'adressait

Nous avons vu qu'il goûtait peu ces idées générales. Au lieu des belles rêveries philanthropiques, se plaisait Wordsworth et qui étaient le véritable domaine de son âme, il y a ici quelque chose de plus près de terre. C'est plutôt l'expression d'un sentiment personnel, et il s'y glisse en même temps de la colère et de la rancune.

Il y a, dans les Recollections of a Tour made in Scotland, AD. 1803, de Dorothy Wordsworth, des pages d'un sentiment exquis. Scenery of Scotland, chap.

Chez Burns, cette souffrance ne pouvait pas prendre une forme purement intellectuelle, s'accumuler en profonde tristesse méditative comme chez Wordsworth, ou s'exhaler en emportement lyrique comme chez Coleridge. Les gens cultivés se font de leur esprit un sanctuaire reculé dont les joies et les colères sont plus loin de la vie, ils se retirent parfois pour goûter leurs fiertés ou cacher leurs dégoûts. Burns n'avait pas ce refuge. La vie réelle était trop près de son esprit, il ne pouvait s'en éloigner et ses idées passaient aussitôt dans ses actes. Ce conflit ne produisit pas en lui, comme dans Wordsworth, un ébranlement moral, douloureux sans doute, mais qui restait restreint dans la vue spéculative des choses. Il causa en lui une irritabilité de chaque jour. Il avait pris en haine les officiers au point qu'il ne pouvait en supporter la présence. Il écrivait

Il fallait que cette admiration de la Révolution française fût profondément ancrée dans les coeurs, pour qu'elle y fût plus forte que l'amour même de la Patrie. C'étaient pourtant des coeurs bien anglais que ceux de Wordsworth et de Coleridge. L'homme qui a écrit le sonnet

91. Il continuait ainsi (Juan, et non pas Wordsworth)

Mot du Jour

qu'oublieuse

D'autres à la Recherche