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Mis à jour: 24 juillet 2025
A côté d'elle, M. Swinburne placerait Miss Christina Rossetti, dont l'Hymne du Nouvel An est décrit par lui comme la plus noble des poésies sacrées de notre langue, au point qu'aucune autre ne s'en rapproche assez pour mériter le second rang.
Il fallait aussi trouver un thème nouveau dans la relation des sexes, conçue sous une forme naturelle, simple et saine, et M. Walt Whitman proteste contre la tentative que fit le pauvre M. William Rossetti pour traiter son vers
Quant au Professeur Shairp, considéré comme critique, il fut un tragique exemple de l'influence désastreuse de Wordsworth, car il ne cessait de confondre les questions éthiques et les questions esthétiques, et jamais il n'eut la moindre idée de la manière dont il fallait aborder des poètes comme Shelley et Rossetti qu'il eut pour mission d'interpréter
Burns the Ploughman-Poet, a Memorial Tribute by WILLIAM BALLINGAL. Peckham, S. E., n. d. Burns in Drama, together with saved Leaves, edited by JAMES HUTCHISON STIRLING. Edinburgh, Edmonston and Co, 1878. The Loves of Burns, by G. D. MAC KELLAR. Glasgow, A. F. Sharp and Co, n. d. Lives of Famous Poets by WILLIAM MICHAEL ROSSETTI. London, E. Moxon, Son and Co, 1878.
Il n'écrit peut-être pas avec l'aisance et la grâce d'un homme de lettres, mais il n'est jamais prétentieux et n'est pas souvent pédant. Le livre de M. Rossetti est absolument raté. Et, pour commencer, M. Rossetti commet la grave erreur de séparer l'homme de l'artiste. Les faits de la vie de Keats ne sont intéressants qu'
«Et il ajoutait que Swinburne, Morris et Rossetti et lui-même devaient leur science et leur art aux exemples des grandes trouveurs gascons et provençaux...»
Or, trou de serrure et escalier de service jouent un rôle essentiel dans la méthode des biographes modernes. Toutefois, il n'est que juste de reconnaître, tout d'abord, que M. Colvin s'est acquitté de sa besogne beaucoup mieux que M. Rossetti. Ainsi le récit de la vie de Keats adolescent, tel que le donne M. Colvin, est très agréable. De même l'esquisse du cercle des amis de Keats.
Dès qu'ils sont isolés, ils perdent tout intérêt ou même deviennent pénibles. M. Rossetti se plaint de ce que les débuts de la vie de Keats soient dépourvus d'incidents, de ce que la dernière période soit décourageante, mais la faute est imputable au biographe et non au sujet.
Il n'est nullement nécessaire de suivre M. Rossetti plus loin, pour le voir barboter dans la vase qu'il a faite lui-même avec ses pieds. Un critique, capable de dire qu'«un nombre assez faible des poésies de Keats sont dignes d'une grande admiration», ne mérite pas d'être pris au sérieux.
Les autres pièces ne sortent pas moins malmenées des mains de M. Rossetti. La belle invocation, dans Isabella: Portez vos plaintes vers elle, toutes, syllabes de gémissement, sortez des profondeurs de la gorge de la triste Melpomène Sortez en ordre tragique de la lyre de bronze Et faites vibrer en un mystère les cordes. Cela lui paraît «une fadeur».
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