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Mis à jour: 27 mai 2025


«Et il ajoutait que Swinburne, Morris et Rossetti et lui-même devaient leur science et leur art aux exemples des grandes trouveurs gascons et provençaux...»

Le poète qui a le plus noblement parlé de Hugo, Sir Algernon Swinburne, a donné des Châtiments cette large définition: «Entre le prologue Nox et l'épilogue Lux des Châtiments, les quatre-vingt-dix-huit poèmes qui roulent, qui brisent, qui éclairent, qui tonnent comme les vagues d'une mer visible, exécutent leur choeur d'harmonies montantes et descendantes avec presque autant de profondeur, de variété, de force musicale, avec autant de puissance, de vie, autant d'unité passionnée, que les eaux des rivages sur lesquels ils furent écrits

Et l'on va faire le tour du petit jardin, du jardin comme au haut d'une fortification, du jardin dominant le Paris de la rive gauche, et terminé par une serre-bibliothèque des livres préférés par Montesquiou, en même temps qu'un petit musée des portraits de leurs auteurs, parmi lesquels mon frère et moi, nous figurons entre Swinburne et Baudelaire: un petit jardin fantastique qui a pour arbres une douzaine de ces chênes et de ces thuyas en pot, que Montesquiou a achetés

Il me faut maintenant parler de la famille de ma mère. Monsieur Robert Dillon, des Dillon de Roscomon, était un gentilhomme irlandais catholique, possesseur d'une jolie fortune; pour l'augmenter, et dans la nullité étaient condamnés les catholiques, un sien frère fut chargé de la faire valoir dans le négoce. Monsieur R. Dillon avait épousé une riche héritière dont il eut une seule fille, lady Swinburne. Devenu veuf, il épousa miss Dicconson, la plus jeune de trois soeurs, belles comme des anges, que leur père, gouverneur du prince de Galles, fils de Jacques II, avait élevées

Certainement, «dans l'intérêt du chant» nous aimerions l'œuvre de M. Swinburne, et même nous ne pouvons ne pas l'aimer, tant il est un merveilleux artiste en musique. Mais qu'y a-t-il d'âme? Pour l'âme, nous devons chercher ailleurs. Trois poètes nouveaux. Pall Mall Gazette, 12 juillet 1889. Les livres de poésie des jeunes écrivains sont d'ordinaire des billets qui ne sont jamais payés.

Malgré toute mon admiration pour l'œuvre de Miss Rossetti, son choix subtil des mots, sa richesse d'images, sa naïveté artistique, ou se mêlent avec fantaisie de curieux accents d'étrangeté et de simplicité, je ne puis m'empêcher de penser que M. Swinburne, en sa noble et naturelle loyauté, l'a placée sur un piédestal trop élevé. Pour moi, elle est simplement une très charmante artiste en poésie.

Shakespeare m'a donné une rose anglaise, et Spenser du chèvrefeuille aussi doux que la rosée, on bien je vous aurais apporté de cette retraite rêveuse la fleur de la passion de Keats, ou le bleu mystique de la fleur étoilée, le chant de Shelley, ou j'aurais fait tomber l'or des lis de la Damoiselle Bénie ou dérobé du feu dans les plis écarlates des pavots de Swinburne...

[Note 4: Swinburne qui,

Naturellement nous ne devons point chercher dans ces poésies de révélation de l'âme humaine. Ne faire qu'un avec les éléments, tel semble être le but de M. Swinburne. Il cherche

M. Swinburne mit jadis en feu ses contemporains par un volume de très parfaite et très vénéneuse poésie. Puis, il devint révolutionnaire et panthéiste, et prit

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cuthbert

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