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Mis à jour: 28 juin 2025


La première attaque de Witgenstein ne se fit qu'

CE succès encouragea Witgenstein. En même temps, deux jours de tâtonnemens, le rapport d'un prisonnier, et sur-tout la reprise de Borizof par Platof, avaient éclairé Tchitchakof. Dès lors, les trois armées russes, du nord, de l'est et du midi, se sentirent réunies; leurs chefs communiquèrent entre eux. Witgenstein et Tchitchakof étaient jaloux l'un de l'autre, mais ils nous détestaient encore plus; la haine fut leur lien et non l'amitié. Ces généraux se trouvèrent donc prêts

Même jour. Bataille de Polotsk, entre le maréchal Gouvion-St.-Cyr et le général Witgenstein; elle dure trois jours; les Français éprouvent de grandes pertes. 18 octobre. Défaite du général russe Tbitchagow par le général Reynier, au combat d'Esen. 19 octobre. L'empereur Napoléon voyant qu'il n'est plus d'espoir pour la paix, se détermine

Passage de la Dwina par le maréchal Oudinot, près de Dunabourg. 16 juillet. L'empereur Alexandre et le général Barclay de Tolly évacuent le camp retranché de la Drissa, menacé d'être tourné par les corps de l'armée française. 18 juillet. Combat de Sibesch entre le maréchal Oudinot et le général russe comte de Witgenstein. Quartier-général de l'empereur

Le lendemain, Saint-Cyr les fit poursuivre, mais seulement pour éclairer leur retraite, marquer la victoire, et en recueillir encore quelques fruits. Pendant les deux mois qui suivirent, jusqu'au 18 octobre, Witgenstein le respecta. De son côté, le général français ne s'occupa plus qu'

L'empereur s'émut. Ces injures, ces succès, ces revers, tout l'excite. La marche en avant de Barclay sur trois colonnes, vers Rudnia, qu'avait décelée l'échec d'Inkowo, et la vigoureuse défensive de Witgenstein, promettaient une bataille. Il fallait opter entre elle et une défensive longue, pénible, sanglante, inaccoutumée, difficile

Il était d'ailleurs reconnu, et quand bien même l'infanterie et l'artillerie, trop pressées par Witgenstein et Kutusof, n'auraient pas le temps de franchir le fleuve sur des ponts, du moins serait-on sûr, puisqu'il y avait un gué éprouvé, que l'empereur et la cavalerie le passeraient; qu'alors tout, ne serait pas perdu, et la paix et la guerre, comme si Napoléon lui-même restait au pouvoir de l'ennemi.

Witgenstein fit menacer le côté le moins accessible par Yacthwil; et lui-même, le 18, il se présenta contre l'autre, d'abord avec quelque témérité, car deux escadrons français, les seuls que Saint-Cyr eût gardés, renversèrent sa tête de colonne, prirent son artillerie, et le saisirent, dit-on, lui-même, mais sans le reconnaître; de sorte qu'ils abandonnèrent ce général en chef, comme une prise insignifiante, quand le nombre les força de reculer.

Quelqu'un proposa de retourner sur Witgenstein et Vitepsk. Napoléon reste incertain entre tous ces projets. Celui de la conquête de Pétersbourg seul le flatte. Les autres ne lui paraissent que des voies de retraite, des aveux d'erreur, et, soit fierté, soit politique qui ne veut pas s'être trompée, il les repousse.

À cinq heures, tout étant prêt, et Witgenstein endormi, il donne le signal: aussitôt son artillerie éclate et ses colonnes se précipitent.

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