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Mis à jour: 28 mai 2025


Hoertel, qui commandait douze mille hommes vers Bobruisk, refusa de sortir de ses cantonnemens, de suivre Dombrowski et de venir défendre cette partie du fleuve; il allégua le danger d'une épizootie, prétexte inoui, invraisemblable, mais vrai, et que Tchitchakof lui-même a confirmé.

Ce maréchal la continua sur Koenigsberg, par Labiau et Tente. Ses derrières étaient assurés par Mortier et la division Heudelet, dont les troupes nouvellement arrivées occupaient encore Insterburg et contenaient Tchitchakof. Le 3 janvier, sa jonction était opérée avec Mortier, et il couvrait Koenigsberg.

À Kief; il envelopperait Tchitchakof et son armée; il débarrasserait le flanc droit et les derrières de la grande-armée; il couvrirait les provinces polonaises les plus productives en hommes, vivres et chevaux; tandis que des cantonnemens fortifiés

Tchitchakof s'était trouvé dans une de ces circonstances difficiles la préoccupation devant flotter incertaine sur plusieurs points

Il est vrai que l'armée russe de Moldavie vient de s'ajouter aux restes de l'armée de Volhinie, que Tchitchakof, général actif et déterminé, a pris le commandement de ces cinquante-cinq mille Russes; que l'Autrichien s'est arrêté; qu'il s'est même cru obligé, le 23 septembre, de reculer derrière le Bug; mais il a repasser ce fleuve

Tchitchakof attaqua tard, mais vivement, et non-seulement

Il parlait ainsi, quand un officier polonais accourut avec la nouvelle que cette Minsk, son magasin, sa retraite, son unique espoir, venait de tomber au pouvoir des Russes. Tchitchakof y était entré le 16. Napoléon resta d'abord muet et comme frappé par ce dernier coup; puis, s'élevant en proportion de son danger, il reprit froidement: «Eh bien! il ne nous reste plus qu'

JUSQUE-LÀ tout allait bien. Mais Victor, en passant dans Borizof, y avait laissé Partouneaux et sa division. Ce général devait arrêter l'ennemi en arrière de cette ville, chasser devant lui les nombreux traîneurs qui s'y étaient abrités, et rejoindre Victor avant la fin du jour. Partouneaux voyait pour la première fois le désordre de la grande-armée. Il voulut, comme Davoust au commencement de la retraite, en cacher la trace aux yeux des Cosaques de Kutusof, qui le suivaient. Cette vaine tentative, les attaques de Platof par le grand chemin d'Orcha, et celles de Tchitchakof par le pont brûlé de Borizof, le retinrent dans cette ville jusqu'

Sur plus de deux cent cinquante lieues, elle ne lui offre que deux points d'arrêt et de repos. Smolensk d'abord, puis Minsk. Il a fait de ces deux villes ses deux grands dépôts; d'immenses magasins y sont réunis. Mais Witgenstein, toujours devant Polotsk, menace le flanc gauche de la première, et Tchitchakof, déj

Ce fait, et le malheur de la division Partouneaux, expliquent l'effrayante réduction du corps de Victor, et cependant ce maréchal contint Witgenstein pendant toute cette journée du 28. Pour Tchitchakof, il fut battu. Le maréchal Ney et ses huit mille Français, Suisses et Polonais, suffirent contre vingt-sept mille Russes. L'attaque de l'amiral fut lente et molle.

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cuthbert

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