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Mis à jour: 28 juin 2025


Cependant Victor avec six mille hommes, les défendait contre Witgenstein. Mais dès les premières lueurs du 28, quand ils virent ce maréchal se préparer

Même jour. Défaite du général Witgenstein

Mais Witgenstein ayant attaqué avant Tchitchakof, le danger le plus proche et le plus pressant avait attiré toute l'attention: les sages instructions du 6 octobre n'avaient point été renouvelées par Napoléon. Elles parurent oubliées par son lieutenant. Enfin, lorsqu'

Dans sa marche, Witgenstein aperçut, de la rive droite, Druïa, et la cavalerie de Sébastiani, qui occupait cette ville avec trop de sécurité. La nuit l'encouragea; il fit passer le fleuve

L'ESPOIR de passer entre les armées russes était donc perdu: poussé par celles de Kutusof et de Witgenstein contre la Bérézina, il fallait traverser cette rivière, en dépit de l'armée de Tchitchakof qui la bordait. Dès le 23, Napoléon s'y prépara comme pour une action désespérée. Et d'abord il se fit apporter les aigles de tous les corps et les brûla.

Leur terreur était fondée. Le dernier jour de beaucoup de ces malheureux était venu. Witgenstein et Platof, avec quarante mille Russes de l'armée du nord et de l'est, attaquaient les hauteurs de la rive gauche, que Victor, réduit

Alors les Russes, s'élançant de leurs bois, se découvrent tout entiers. Ils assaillent Saint-Cyr avec fureur. Dès les premiers feux, une de leurs balles atteignit ce maréchal. Il n'en resta pas moins au milieu des siens, ne pouvant plus se soutenir, et se faisant porter. L'acharnement de Witgenstein sur ce point dura autant que le jour.

Enfin, vers le milieu du jour, le Russe s'aperçut de sa supériorité: il déborda l'aile gauche française. Tout alors eût été perdu sans un effort de Fournier et le dévouement de Latour-Maubourg. Ce général passait les ponts avec sa cavalerie. Il aperçut le danger, revint aussitôt sur ses pas, et l'ennemi fut encore arrêté par une charge sanglante. La nuit vint avant que les quarante mille Russes de Witgenstein eussent pu entamer les six mille hommes du duc de Bellune. Ce maréchal resta maître des hauteurs de Studzianka, préservant encore les ponts des baïonnettes russes, mais ne pouvant les cacher

Cet amiral ajoute, qu'un avis donné par Witgenstein attira encore son anxiété vers Bérésino inférieur, ainsi que la supposition, assez naturelle, que la présence de ce général sur le flanc droit de la grande-armée, et au-dessus de Borizof, pousserait Napoléon au-dessous de cette ville.

Mais Witgenstein avait laissé Platof suivre l'armée française sur le grand chemin; lui, s'était dirigé plus

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n'usait

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