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Mis à jour: 28 juin 2025


Ainsi, les jours heureux étaient passés; de toutes parts arrivaient des nouvelles désastreuses. D'un côté, Polotsk, la Düna, Vitepsk perdus, et Witgenstein déj

Dans cette situation, les Russes s'enhardissaient chaque jour de plus en plus; enfin, le 17 octobre, les avant-postes de Saint-Cyr furent repoussés sur son camp, et Witgenstein s'empara de tous les débouchés des bois qui environnent Polotsk. Il nous menaçait d'une bataille qu'il ne croyait pas qu'on osât accepter.

Le but de Saint-Cyr était de trouver plus de vivres, de marcher plus librement, avec plus d'ensemble, enfin d'éviter une confusion trop ordinaire dans les colonnes trop considérables, quand les hommes, les canons et les bagages sont entassés sur une même route. Il réussit. Dix mille Français, Suisses et Croates, ayant en queue cinquante mille Russes, se retirèrent sur quatre colonnes, lentement, sans se laisser entamer, et forçant Witgenstein et Steinheil

Jomini combattit ce projet. Ce général suisse allégua la position de Witgenstein dans de longs défilés. Sa résistance y pourrait être, ou opiniâtre, ou flexible, mais assez longue pour consommer notre perte.

CES trois journées étaient glorieuses. Witgenstein repoussé, Steinheil battu, dix mille Russes et six généraux tués ou hors de combat. Mais Saint-Cyr était blessé, l'offensive perdue, l'orgueil, la joie et l'abondance dans le camp ennemi, la tristesse et le dénuement dans le nôtre; on reculait. Il fallait un chef

Toutefois, ce fut un bonheur pour la réputation d'Yorck que Macdonald, si affaibli, et dont sa défection avait interrompu la retraite, eût pu rejoindre la grande-armée. L'inconcevable lenteur de la marche de Witgenstein sauva ce maréchal: le général russe l'atteignit pourtant

Ces échecs, la faim et les maladies avaient diminué de moitié les forces de Saint-Cyr, tandis que des recrues avaient doublé celles de Witgenstein. Vers le milieu d'octobre, l'armée russe, sur ce point, montait

Grande bataille de Smolensk, entre l'armée française commandée par Napoléon en personne, et les deux armées russes aux ordres des généraux Barclay de Tolly et prince Bagration. L'ennemi, battu sur tous les points, est obligé encore une fois de précipiter sa retraite. 18 août. Bataille de Polotsk, le général Gouvion St.-Cyr défait le général russe Witgenstein.

Victor avait obéi, et le 14, le jour même Napoléon était sorti de Smolensk, ce maréchal et le duc de Reggio avaient fait replier les premiers postes de Witgenstein vers Smoliany, préparant par ce combat une bataille qu'ils étaient convenus de livrer le lendemain.

Cet incendie dénonça leur mouvement: aussitôt toutes les batteries de Witgenstein ont éclaté, ses colonnes se sont précipitées, ses obus ont mis le feu

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l'égaierait

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