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M. Walckenaer, dans ses Mémoires sur madame de Sévigné (t. III, p. 291 de la première édition), dit: «Fouquet était, par les ordres de Louvois, détenu

[Note 99: Il ne s'agit point ici, bien entendu, du conte de Perrault, qui ne parut pour la première fois qu'en 1694. M. Walckenaër, dans ses Lettr. sur l'orig. de la féerie et des contes de fées attribués

Walckenaer dit excellemment: «Oui, La Fontaine, La Fontaine, nous le répèterons après toi: Ah! si le ciel t'avait donné une compagne qui t'eût fait connaître les tranquilles jouissances de la vie domestique, ton imagination n'eût été ni moins gaie, ni moins vive, ni moins spirituelle; mais elle eût été mieux réglée et plus pure. Tes fables seraient toujours l'objet de notre admiration et de nos louanges; mais, dans tes autres écrits, la peinture des plus doux sentiments du coeur, dont tu connais si bien le langage, qui a fait des chefs-d'oeuvre irréprochables du petit nombre de contes tu l'as employée, aurait remplacé ces tableaux licencieux tu as outragé les moeurs et quelquefois le dieu du goût. Alors, ô La Fontaine, les satyres n'eussent point mêlé de fleurs pernicieuses parmi les fleurs suaves et brillantes dont les Muses et les Grâces ont tressé ta couronne; et ces vierges du Parnasse ne te reprocheraient point, en rougissant, de les avoir si souvent forcées

Ce sont encore les Histoires de Voltaire, de Henri Martin, de Michelet, de M. Jobez; les patientes investigations de la science moderne, les travaux des Sainte-Beuve, des Noailles, des Lavallée, des Walckenaër, des Feuillet de Conches, des Le Roi, des Soulié, des Rousset, des Pierre Clément, des d'Arneth, des Goncourt, des Lescure, de la comtesse d'Armaillé, de MM. Boutaric, Honoré Bonhomme, Campardon, de Barthélemy et de tant d'autres historiens et critiques distingués.

Se peut-il rien de plus déplacé que ce langage? Mais il semble que La Fontaine n'en eût pas conscience, et ce même homme «le plus singulier qui peut-être ait existé» d'après Walckenaer, fait preuve, bientôt après, d'une sensibilité des plus touchantes. En passant

M. Walckenaer (t. 4, p. 350) a expliqué très clairement comment Jeannin étoit possesseur du marquisat de Montjeu. Expilly (t. 4, p. 855) parle aussi de ce marquisat. Mais ce n'est pas pour indiquer ces éclaircissements géographiques que je remettrai Jeannin, le «coquet» Jeannin en scène; c'est pour demander

Je ne sais pourquoi Walckenaer (t. 2, p. 114) ne la nomme que mademoiselle. Mais dame ou demoiselle, fille d'un crocheteur ou baronne, madame de Beauvais, attachée au service de la reine-mère et assez dévouée

M. Walckenaer (Mémoires concernant madame de Sévigné), M. A. Bazin (Revue des Deux-Mondes, 1842, et Nouvelle Biographie universelle), et M. Sainte-Beuve (t. 3 des Causeries du lundi), ont examiné

[Note 79: Walckenaër (t. 1, p. 190) l'appelle le marquis de Chaulieu. Il avoit été le compagnon d'armes de Bussy en 1638 (Mém., t. 1, p. 54) et avoit été

Le récit de M. Walckenaer s'appuie sur deux autorités: 1° les lettres de Louvois citées dans Delort, et surtout la lettre il est dit que Valcroissant a été condamné aux galères et conduit