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Mis à jour: 12 juillet 2025
Il y avait un grand bal au palais Rezzonico, et voici ce qui se disait dans un groupe élégamment posé dans une embrasure de fenêtre, moitié dans le salon de jeu, moitié sur le balcon: «Vous voyez bien que la mort de Giovanna Morosini n'a pas tellement bouleversé l'existence d'Orio Soranzo, qu'il ne se souvienne de ses anciennes passions. Voyez-le! A-t-il jamais joué avec plus d'âpreté?
Je n'ai pas peur de vous et je vous prie, en homme bien élevé, de cesser immédiatement cette plaisanterie; je n'ai pas peur de vous du tout. Oh! tu mens, tu as peur! Voyez-le! Il n'ose pas remuer la tête de dessous le pistolet. Non, dit-il, vous n'oserez pas faire cela. Et pourquoi donc ne l'oserais-je pas? Parce que cela vous est sévèrement défendu et qu'on vous punirait sévèrement.
Comte, voyez-le, et puis écoutez-moi. SIEGENDORF, regardant Ulric, puis Gabor. Je t'écoute. Mon Dieu! vous regardez Comment? Comme cette nuit terrible où nous nous rencontrâmes dans le jardin. ULRIC, avec un calme affecté. Ce n'est rien.
Quel malheur que vous ne soyez pas parti hier, dit le général quand je lui annonçai mon voyage, vous auriez fait route avec Solignac. Voyez-le
Et le libraire, monsieur! dit Olivier. Je connais le chemin; voyez-le, monsieur, je vous en prie; allez le voir! Mon pauvre garçon, dit le docteur, voil
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