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Mis à jour: 16 juillet 2025
Mais enfin me voici insensiblement revenu où je voulois; car, puisque c'est une chose qui m'est
Ce n'est pas d'aujourd'hui que je me suis aperçu que, dès mes premières années, j'ai reçu quantité de fausses opinions pour véritables, et que ce que j'ai depuis fondé sur des principes si mal assurés ne sauroit être que fort douteux et incertain; et dès lors j'ai bien jugé qu'il me falloit entreprendre sérieusement une fois en ma vie de me défaire de toutes les opinions que j'avois reçues auparavant en ma créance, et commencer tout de nouveau dès les fondements, si je voulois établir quelque chose de ferme et de constant dans les sciences. Mais cette entreprise me semblant être fort grande, j'ai attendu que j'eusse atteint un âge qui fût si mûr que je n'en pusse espérer d'autre après lui auquel je fusse plus propre
Ce fut dans cet esprit que fut recomposé l'opéra de Roland. Dès que j'eus mis ce poème dans l'état où je le voulois, j'éprouvai une joie aussi vive que si je l'avois fait moi-même. Je vis l'ouvrage de Quinault dans sa beauté naïve et simple; je vis l'idée que je m'étois faite d'un poème lyrique françois réalisée ou sur le point de l'être par un habile musicien. Ce musicien ne savoit pas deux mots de françois; je me fis son maître de langue. «Quand serai-je en état, me dit-il en italien, de travailler
Je l'ai seulement tiré par la queue; mais c'est que je voulois le retenir!... Au même instant, Minet parut affublé du bonnet et de la robe de Zozo. Madame Belmont ne put s'empêcher de sourire. Elle appella le chat, le débarrassa de ses chiffons, et, se trouvant mieux, elle se mit sur son séant, fit venir Mimi auprès d'elle, et lui raconta l'histoire suivante: Histoire de Marinette.
Laisse-moi achever. Elle s'empara de mon chapeau avec ses fleurs, & de ma houlette avec la guirlande que je voulois garder
Un petit bosquet, un jardin, un ruisseau de l'eau la plus pure, une retraite délicieuse située au bord de la Loire, rien de plus séduisant; mais ce don étoit une chaîne, et je n'en voulois point porter.
Il y a longtemps, mon très-révérend père, que je me suis donné l'honneur de vous écrire. Je ne crains pas que vous soupçonniez que ce soit par oubly. C'est souvent par discrétion que je m'en prive. Cette fois cy c'est par scrupule. Je ne voulois pas vous dire une chose que je suis persuadée qui vous fera de la peine et j'en ay encore davantage
Eh! quel Ecrivain en eut jamais plus besoin que moi? Je voudrois le cacher en vain. J'eus la foiblesse autrefois, Monsieur, de vous présenter, en différens tems, deux tristes Drames , productions monstrueuses, comme on sait, car entre la Tragédie et la Comédie, on n'ignore plus qu'il n'existe rien; c'est un point décidé, le Maître l'a dit, l'Ecole en retentit, et pour moi, j'en suis tellement convaincu, que si je voulois aujourd'hui mettre au Théâtre une mère éplorée, une épouse trahie, une sœur éperdue, un fils déshérité, pour les présenter décemment au Public, je commencerois par leur supposer un beau Royaume où ils auroient régné de leur mieux, vers l'un des Archipels ou dans tel autre coin du monde; certain, après cela, que l'invraisemblance du Roman, l'énormité des faits, l'enflure des caractères, le gigantesque des idées et la bouffissure du langage, loin de m'être imputés
Je voulois tirer au clair la généalogie des Wurtemberg.
Toujours des recommandations, ou des reproches.... Je n'en finirois pas si je voulois écouter tout cela.... (s'arrêtant sur une lettre.) Mais que vois-je!.... Je crois reconnoître cette écriture.... Lisons.... (Il ouvre la lettre et la lit sur le devant du théâtre, après avoir fait signa
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